Vous trouverez ici des articles pratiques en lien avec la naturopathie et l'hygiénisme et bien plus encore.
Les aliments vivants
Claude Lagarde Docteur en pharmacie et biologiste précise :
« (...) Il existe deux types d’états énergétiques dans la plupart des minéraux : l’état de basse et de haute énergie. La consommation de végétaux frais encore vivants permettrait justement d’apporter à l’organisme des oligo-éléments possédant une haute énergie. En effet la lumière permet d’activer ces éléments et donc de leur conférer un état activé.

Claude Lagarde Docteur en pharmacie et biologiste précise :
« (...) Il existe deux types d’états énergétiques dans la plupart des minéraux : l’état de basse et de haute énergie. La consommation de végétaux frais encore vivants permettrait justement d’apporter à l’organisme des oligo-éléments possédant une haute énergie. En effet la lumière permet d’activer ces éléments et donc de leur conférer un état activé.
De plus la dynamisation génère des oligo-éléments présentant des électrons en état de haute énergie, ce qui facilité le transfert énergétique initiant la réaction enzymatique. Ainsi, une infusion dynamise sans doute les oligoéléments contenus dans les plantes puisque le choc thermique provoque des modifications électroniques
Pour posséder une activité catalytique maximale, un oligo-élément doit être présent sous forme hautement énergétique ou High Energy. Cet état activé de l’élément minéral caractérise un oligo-élément catalyseur dont les électrons disponible et nécessaire à la réaction enzymatique se situent sur la couche 3d, la plus éloignée de leur noyau. »
Ce scientifique précise encore :
« Divers chercheurs de renom (dont plusieurs prix Nobel) affirment depuis longtemps l’existence d’une information vibratoire prépondérante (eau, soleil, minéraux...) influant la cellule et ses échanges de façon encore mal appréhendée. Il est fondamental pour un scientifique d’accepter l’idée que demeure en 2017..., tout un univers de paradigme dont nous ne connaissons rien et ce malgré de nombreux acquis scientifiques ! »
Notre santé et notre vitalité ne peuvent être assurées que par des aliments dont les molécules n’ont pas été altérées ou le moins possible par des procédés quels qu’ils soient. Plus on dénature un aliment par différents procédés (cuisson par la chaleur ou par d’autres procédés comme les micro-ondes, ajout de molécules de synthèse, raffinage par extraction de certaines parties de l’aliment etc.), plus on altère son intégrité de départ.
Un aliment peut avoir une densité nutritionnelle importante c’est-à-dire être riche en nutriments divers tels que des vitamines, minéraux, oligo-éléments et en parallèle s’il a subi une cuisson à température très élevé pendant un certain temps, peut ne plus être intéressant sur le plan nutritif voir même toxique.
Même si la notion de densité nutritionnelle est importante, on voit bien qu’elle est insuffisante si l’on ne tient pas compte de la notion de qualité des nutriments qui la compose.
La cuisson contribue à « faciliter » les processus de dégradation biochimique et donc de digestion de certains aliments. Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir « crudivores », c’est-
Il est favorable de consommer quotidiennement un minimum de 60 % d’aliments crus contre 40 % d’aliments cuits. C’est une démarche très favorable pour maintenir un bon niveau de santé. Les fruits et légumes pourront être consommés sous forme entière « à la croque » et sous forme de jus fraîchement extrait.
Le fait de consommer des jus de légumes permet plus facilement d’atteindre le taux de 60 % d’aliments crus de manière relativement aisée. En effet il faut une grande quantité de légumes pour réaliser un verre de 20 à 25 cl de jus. Ces jus, même s’ils ne contiennent pas la totalité des nutriments qu’apportent les légumes entiers (certains nutriments vont rester « prisonniers » des fibres), ils en concentrent une quantité relativement importante surtout avec un extracteur à double vis. Il faut à peu près un kilo de carottes pour réaliser un verre de 25 cl de son jus.
Les aliments peuvent être appréhendés en fonction de leur densité nutritionnelle et de leur vitalité. Nous retiendrons ici 4 grandes classes.
- Aliments « hyper vitaux ».
Ce sont ceux qui concentrent une très forte quantité de nutriments dont la biodisponibilité est très aisée tels que : les graines suffisamment germées pour provoquer la transformation de molécules complexes en molécules simples, les graines germées en pousses, les jus d’herbe (orge ou blé, par exemple).
- Aliments « vitaux ».
Ce sont principalement les fruits et légumes de saison, de la région, d’origine biologique, n’ayant subi aucune altération quelle qu’elle soit, depuis leur production jusqu’à leur consommation.
- Aliments « sous vitaux ».
Ce sont tous les aliments dont la densité nutritionnelle ou la vitalité ont été altérées à un moment donné, peu importe la raison ou le procédé.
- Aliments « nuisibles ».
Ce sont les aliments « enrichis » d’additifs chimiques de synthèse ou dont le mode de production, de transformation, de cuisson sont nuisibles : production intensive avec produits phytosanitaires de synthèse (pesticides, herbicides, etc.), OGM, aliments incluant des nanoparticules, ionisation des aliments, micro-ondes, cuisson UHT, cuisson excessive, friture, etc.
L’alimentation doit donc être vivante et saine. Pour minimiser l’exposition de l’Homme aux différents produits phytosanitaires, connus pour leur effet fortement délétère pour la santé humaine, il est impératif aujourd’hui, autant que possible, de consommer des aliments d’origine biologique. Cela concerne particulièrement la consommation de fruits et légumes frais. De plus, cette alimentation doit être exempte de tout procédé pouvant nuire à la santé des consommateurs, comme les OGM par exemple.
Auteur de l'article: Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste Créateur d’une nouvelle une école de naturopathie et d’hygiénisme sur internet à 100 % en E-learning : ENHED
Auteur, conférencier. Consulte à distance par tél ou par skype.
Tel : 09 50 24 05 34. www.ericdarche.com
Groupe Facebook ouvert à tous où vous pouvez le retrouver : Naturopathie, hygiénisme et alimentation vivante.
Le stress peut-il nous rendre malade?
le mot est introduit en médecine en 1936 par le Docteur Hans Selye, endocrinologue à l’Institut de Médecine et de Chirurgie Expérimentale (Université de Montréal Canada). Sa définition est attachée à la physiologie et à la psychologie : « Agression de l’organisme par un agent physique, psychique, émotionnel entraînant un déséquilibre qui doit être compensé par un travail d’adaptation ; agent qui agresse ; tension nerveuse, contrainte de l’organisme face à un choc (événement soudain, traumatisme, sensation forte, bruit, surmenage) ; état d’une personne soumise à cette tension »

La phase 1 ; est une réaction d’alarme. Face au stress, des hormones (adrénaline et noradrénaline) sont libérées par l’organisme via la glande médullosurrénale. Elles augmentent la fréquence cardiaque, la tension artérielle, le rythme respiratoire et provoquent une vasodilatation des vaisseaux sanguins des muscles. Toutes ces modifications ont pour but de préparer l’organisme « à la fuite ou au combat ». Dans la phase 1 ; « le stress a pour effet d’appeler les cellules immunitaires à leur poste de combat ». Si la situation stressante persiste, l’organisme entre en phase de résistance ou phase 2.
La phase 2 ; un deuxième axe neurohormonal, l’axe corticotrope, est activé pour préparer l’organisme aux dépenses énergétiques que nécessitera la réponse au stress. De nouvelles hormones sont alors sécrétées, les glucocorticoïdes, qui ont notamment pour effet d’augmenter le taux de sucre dans le sang mais aussi d’inhiber certains systèmes inutiles à la réponse au stress, comme le système immunitaire.
La phase 3 ; est celle de l’épuisement, lorsque la situation stressante se prolonge encore.
Les systèmes neurohormonaux hyperstimulés, se dérèglent et l’organisme est submergé d’hormones activatrices qui deviennent néfastes. Le stress devient chronique quand le cortisol reste élevé une fois terminée l’action de l’agent stressant. En quelques semaines apparaissent douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires, etc.) troubles du sommeil, de l’appétit et de la digestion, angoisse, nervosité accrue, difficultés à se concentrer
Le stress chronique va monopoliser les réserves en stérol ou corps gras pour la fabrication d’hormones comme le cortisol, la cortisone, la corticostérone, l’aldostérone, au détriment de stéroïdes comme la testostérone. D’où une baisse de la libido mais aussi de l’activité intellectuelle à visée créatrice.
Lorsque l’état de stress devient permanent, des altérations plus graves de la santé peuvent apparaître : atrophie des dendrites des neurones de l’hypophyse. Cela affecte la mémoire verbale et la mémoire en contexte (particulièrement le contexte émotif).
D’autres conséquences peuvent apparaître comme la résistance à l’insuline pouvant évoluer vers un diabète, la dépression, l’hypertension artérielle, les crises cardiaques mortelles chez certaines personnes prédisposées, la perturbation du métabolisme des lipides, l’anorexie, la boulimie, la prise de poids, le vieillissement prématuré, les troubles musculo-squelettiques, la diminution de la résistance aux infections, les maladies auto-immunes etc.
La paroi du tube digestif abrite environ 70 % des cellules immunitaires de l’organisme, ainsi que 100 millions de neurones répartis sur toute sa longueur. Ceci explique entre autres, comment les émotions peuvent altérer les fonctions digestives ainsi que la performance du système immunitaire.
Pour éviter d’entrer dans cette spirale infernale qui détruit peu à peu, mais sûrement la santé, il est conseillé d’éviter les situations trop stressantes et surtout, d’apprendre à les gérer, lorsque l’on ne peut les éviter. Il est favorable aussi d’avoir recours à une alimentation saine et équilibrée, permettant de combler les carences en nutriments mais aussi de stabiliser la glycémie et l’insuline, ce qui est primordial pour une meilleure régulation du stress.
Un apport supplémentaire sous forme de complexe riche en minéraux et vitamines naturelles (B5, B6, C, entre autres), ainsi qu’un apport d’oméga 3 EPA / DHA, pris à une dose adéquate, permettent de contribuer à restaurer l’équilibre de l’organisme, de mieux gérer les états de stress et de protéger les neurones. Éviter d’avoir recours à des stimulants artificiels comme la caféine, le thé, l’alcool ou encore des quantités massives de sucre. Cela ne fait qu’aggraver la situation.
A propos de la phase 3 du stress, qui est celle de l’épuisement, lorsque la situation stressante se prolonge encore, le Naturopathe Robert Masson précise :
Le stress (chronique et intense) aura donc 3 actions destructrices essentielles :
1. Une action immuno-dépressive (infections chroniques ou à répétition)
2. Une action vaso-constrictive se localisant sur des sites variables en fonction de l'hérédité et dee la personnalité biologique : chez l’un par exemple, le spasme se produira au niveau des coronaires créant un angor de stress. Chez l'autre, on observera un spasme au niveau des structures stomacales, ce qui induira l’ulcère, etc.
3. Une action au niveau des peroxydations organiques (destruction des membranes neuronales par les radicaux libres).
Dans tous les cas de stress refoulé générateur de pathologies, nous envisageons conjointement aux thérapies spécifiques que nous verrons plus loin, les soins de bas suivants :
- Lors d’une agression immédiate, il faut essayer, dans la mesure du possible, de faire un exercice intense (course en forêt, nage, vélo, etc.), afin de provoquer un dispatching de l'influx nerveux sur le plan musculaire réduisant ainsi de 50 à 75% l'impact du stress.
- S’il n'est pas envisageable de faire ce qui vient d’être dit, prendre le plus rapidement possible une douche car la peau fait partie, comme le système nerveux , de l’ectoderme et l’eau ruisselant sur la peau, sur les terminaisons nerveuses de la peau, est une véritable « douche du système nerveux » bloquant ainsi le processus destructeur du stress.
Comment le stress bloque l'immunité ?
Le stress peut être de différente nature : deuil, rupture, micro-stress répétés de la vie quotidienne, Etc…
- Les membranes neuronales sont détruites par le stress.
- Le stress déséquilibre la flore intestinale.
- Les sécrétions digestives sont perturbées par le stress.
- Le stress freine les éliminations.
Le système immunitaire étant affaibli par le stress, il ne peut plus détruire efficacement les cellules mortes et les micro-organismes pathogènes.
Prenez soin de vous !
Auteur de l'article: Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste Créateur d’une nouvelle une école de naturopathie et d’hygiénisme sur internet à 100 % en E-learning : ENHED
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La vitamine D !! Quels intérêts?
La vitamine D est bonne pour les os, pour les muscles et pour le coeur. Elle aurait même des propriétés contre le cancer et les maladies cardiovasculaires… La vitamine D est une vitamine indispensable. Pourtant, près de la moitié de la population en manque.

Constat : 80% de la population en manque !!! Notamment les habitants du 33ème parallèle de latitude nord (France, Canada, Suisse, presque toute l’Europe).
Conséquences d’un manque, d'une carence:
-faible connexion neuronal
-faiblesse immunitaire
-mauvaise humeur
-rachitisme (défaut de croissance et d’ossification)
-ostéoporose
-faiblesse musculaire
-fatigue
-peau sèche
-crampes
-hypertension
-dépression
-problème de digestion
-problème de sommeil
Fonctionnement de la vitamine D ?
Les UVB du soleil son captés par notre corps et métabolisés grâce au cholestérol, afin de produire de la vitamine D, qui est en premier lieu inactive (cholécalciférol). Elle va devoir passer par le foie (qui stock) et par les reins (qui l’active), en la transformant en hormone stéroïdienne (messager chimique qui navigue dans le sang), distribué par le sang dans les cellules qui doivent la traiter.
Lorsque la vitamine D est active elle va :
-augmenter la réabsorption du calcium au niveau des intestins, et d’autres minéraux essentiels.
-permettre une minéralisation optimale des tissus (os, cartilage, dents, peau)
-permettre une bonne contraction musculaire
-permettre une bonne transmission nerveuse
-permettre une bonne coagulation
-permettre la régulation hormonale (insuline notamment)
-permettre la différenciation et l’activité des cellules du système immunitaire
-impacter l’humeur, en faisant produire de la sérotonine, une neuro-hormone qui agit sur l’humeur, le comportement social, cognitif, mémoire, émotions, anxiété, agressivité…. Grâce au tryptophane qui est la matière première de la sérotonine.
Ce qu’il faut savoir, c’est que la vitamine D fonctionne en synergie avec d’autres nutriments comme la vit.A, les acides gras essentiels, la vit.K, le magnésium, le fer, le calcium, le zinc, le bore. Toute insuffisance en l’un ou plusieurs de ces nutriments va perturber le fonctionnement de la vit.D.
Facteurs inhibiteurs à la vitamine D ?
Il est intéressant de savoir que l’alimentation ne couvre qu’un sixième des besoins en vitamine D du corps. Environ 124 UI (unités) par jour, selon votre alimentation. Sachant que la référence nutritionnelle pour la population est de 600 UI (unités) pour un adulte par jour.
Le soleil est la meilleure source de vitamine D, capitalisable le plus facilement en été, en s’exposant seulement 20 min aux heures du matin ou du soir (sans filtre solaire, ni derrière une fenêtre, et dans l’idéal avec une bonne surface de peau nu), afin de ne pas subir de désagréments lorsque le soleil est au zénith. Le corps pourra ainsi capitaliser entre 10000 et 25000 UI (unités) de vitamine D, stocké par le foie et redistribué au fur et à mesure des besoins.
La vit.D à des récepteurs au niveau des cellules qui peuvent être bloqués par :
- certaines infections ou toxines et peut-être inhibé par certaines hormones (le cortisol, lié au stress ne laissera plus de récepteurs disponible à la vit.D)
-ou même certaines substances présentes dans l’alimentation (la caféine)
-et aussi certains médicaments (ceux employés contre le cholestérol).
- La crème solaire empêchera également le bon déroulement de cette capitalisation (choisir des moments comme le matin ou le soir pour laisser son corps sans crème).
-L’avancé dans l’âge limite également la bonne capitalisation.
-L’obésité, car la vit.D étant liposoluble, elle se retrouve séquestré par les cellules adipeuses.
-un dysfonctionnement du pancréas peut entraîner un défaut de sécrétion de la bile, émulsifiant essentiel des lipides pour l’absorption des vit.A.D.E.K.
Tous ces facteurs inhibiteurs stopperont ou limiteront la bonne circulation de la vit.D dans l’organisme.
Avant toute complémentation en vitamine D, vérifiez la santé du foie et des reins qui permettent toutes les étapes du processus.
Lors d’une prise de sang le taux de vitamine D circulant ne doit pas être inférieur à 30ng/ml.
L’alimentation jouera un rôle toutefois important en amont, puisque c’est grâce à elle que nous assurerons les bonnes fonctions de l’ensemble de notre corps.
L'alimentation permettra également une bonne préparation au premier soleil de l'été.
Quoi manger ?
-avocat, maquereau, sardine, anchois, bananes, riz complet, œufs, volailles, amandes, noisette, noix de cajou, cacahuète, noix, huile de colza, huile coco, huile d’olive, huile de lin, graine de chia, graine de tournesol, carotte, abricot, mangue, légumes verts foncés, persil, les choux, citrouille, graines de courges, graines germés, le cacao, lait végétal, légumineuses, radis, champignons, fruits de mer, raisin sec, pistache, datte, olive, crevette.
Complémentation possible : attention, les compléments en vitamine D de synthèse peuvent provoquer de fort désagrément au niveau du foie. Il faut comprendre que pour extraire la vitamine D de la laine de mouton (préalablement traitée aux insecticides), il faut avoir recours à des solvants chimiques tels que l'hexane ou l'acétone. Sans parler que la vitamine D extraite en finalité est isolée de ces cofacteurs naturels pour sa bonne action dans l'organisme sur la croissance ou sur l’immunité.
Préférez des vitamines D provenant du règne végétal comme le lichen boréal comme dans la spécialité Ultravegan D3 du laboratoire Holistica par exemple qui est sur support huile d'avocat (et pas huile de tournesol désodorisée ou huile de colza vierge), riche en phytosterols pour renforcer l'action de la vitamine D sur les fonctions immunitaires (synergie ++++) notamment chez les enfants en pleine croissance.
La vitamine D est incroyablement importante pour la bonne tenue de notre système immunitaire ! Mais toujours lire la liste des ingrédients, et ce, pour n’importe quel compléments ! Cette règle est universelle !
Bel été!!!!
Auteur de l'article Julie Dorlet
Naturo-sophro-réflexo
Coaching sugar détox (aide à s'affranchir du sucre) https://djudjuvlr.wixsite.com/julie-style-de-vie
Mail: julie.d.naturo@gmail.com
https://www.facebook.com/julie.dorlet/
Réussir sa transition alimentaire!
Il est indispensable de cerner correctement les intentions qui vous amènent à remettre en question votre alimentation. Vous aurez besoin non seulement d’une motivation personnelle, moteur essentiel de votre changement, mais également de temps pour vous informer, cultiver votre curiosité, cuisiner ou ajuster votre programme de transition à vos besoins, en fonction de vos propres retours d’expériences.

Aujourd’hui il existe dans le grand public un engouement plus marqué qu’autrefois pour des approches alimentaires différentes de l’incontournable et sacro-saint régime omnivore.
Avant tout changement d’un régime alimentaire pour un autre, il est bon de prendre conscience de certains paramètres indispensables à la réussite de cette période qui peut s’avérer « très délicate » pour certains.
Dans les semaines ou les mois qui suivent le moment où l’on a adopté une nouvelle approche alimentaire, il arrive qu’on souffre de troubles de santé divers. La justesse d’un régime alimentaire gagne à être étudiée avant de le pratiquer. Il arrive dans différents cas, que les maux ou troubles de santé que l’on peut ressentir après l’adoption d’un nouveau « régime alimentaire » trouvent leurs explications non pas dans le régime lui-même, mais dans les « erreurs » commises par les personnes qui le pratiquent.
En effet, il s’avère que l’interprétation personnelle de certains régimes, sans tenir compte du terrain de la personne qui adopte cette nouvelle approche alimentaire, peut être à l’origine de déboires, de désillusions et de multiples troubles de santé.
Ne pas tenir compte de son état de santé avec ses dysfonctionnements éventuels, de son « terrain » humoral et organique, de sa vitalité, de l’état de sa flore intestinale, de sa capacité d’oxydation (ou potentiel oxydant), etc., contribue à expliquer pourquoi certains vivent mal leur transition alimentaire ou n’arrivent tout simplement pas à s’y adapter.
Aujourd’hui on rencontre de plus en plus sur des forums (Internet) de santé ou de nutrition, des personnes qui se disent très satisfaites des régimes végétalien, végan ou crudivore. En parallèle, on lit quelquefois des témoignages d’individus très déçus de ces approches alimentaires.
Ainsi apparaissent les camps des « pro » et « anti » crudivore, vegan, végétalien, végétarien, etc.
Avant de conclure que tel régime est foncièrement favorable ou délétère pour la santé, il serait sans doute souhaitable d’avoir une approche intègre, objective, nuancée et souple sans idée préconçue ; que cela soit dans le sens du rejet ou de l’adhésion. Cela demande un véritable travail de recherche et d’étude des nombreux principes théoriques, qu’on gagnera à conjuguer avec de multiples expériences variées réalisées par différentes personnes.
Tous les témoignages et retours d’expérience des uns et des autres, en relation avec un régime alimentaire en particulier, gagneraient à être considérés avec objectivité tout en évitant les explications à l’emporte-pièce ou « standardisées » qui certes nous confortent dans nos « aprioris, certitudes et croyances » mais qui peuvent s’avérer très destructrices pour certains.
En effet, encourager une personne à se maintenir dans une approche alimentaire, alors qu’elle souffre de différents symptômes, sous le prétexte qu’elle vit une période vertueuse de désintoxication, peut s’avérer parfois objectivement très délétère à l’état de santé. Cela illustre le manque de maîtrise et de connaissances de différents paramètres personnels liés à l’homéostasie, à la physiologie digestive et au terrain de chaque individu.
Un symptôme de « désintoxication » qui persiste un peu trop dans la durée devrait éveiller immédiatement la vigilance. Il ne s'agit pas d’un processus d’élimination lié aux vertus du nouveau régime alimentaire. Cela concerne une auto-intoxication (par exemple accumulation de déchets acides nés de digestion incorrecte ou encore d’un excès de fruits aqueux par exemple) dont les crises d’élimination permettent à l’organisme de se libérer de ce surcroît de toxiques. À cela s’ajoutent les symptômes liés aux carences éventuelles provoquées par certaines approches alimentaires.
Tout aliment mal ou incomplètement digéré devient toxique pour l’organisme peu importe s’il est introduit dans un régime végétarien, végétalien, végan ou crudivore.
À l’inverse, rejeter sans nuances, et dans son ensemble, telle ou telle pratique alimentaire, résulte souvent de conclusions catégoriques à partir de certaines expériences constatées ou vécues mais limitées.
À y regarder de plus près, on constate souvent que certaines « mauvaises » expériences liées à tel régime alimentaire résultent d’erreurs commises dans l’interprétation personnelle de ces régimes (manger ou boire trop de ceci ou encore pas assez de cela) et dans d’autres cas, par le manque de personnalisation du régime. Par exemple, en raison d’une consommation excessive de fruits aqueux acides, non pas en valeur absolue, mais en rapport avec la capacité individuelle d’un tel ou d’un tel, à oxyder ces molécules.
En effet pour certains, la limite sera de 3 fruits aqueux par jour tandis que pour d’autres ce sera 1 seul par jour. On pourra même conseiller parfois d’éviter tout fruit acide ou mi-acide à certaines personnes en rapport avec leur terrain très sensible ou à des moments particuliers de leur vie (période de très grand stress par exemple). Une grande vigilance devra être observée à propos des jus d’agrumes car un verre de 15 à 20 cl est égal à plusieurs de ces fruits.
De plus, pour donner des conseils avisés, il faudra tenir compte de la saison et du climat où cette personne réside, et de son contexte de vie pour être encore plus précis. Comme on vient de le voir, si une personne vit une période fortement stressante ou anxiogène, sachant que ces « moments » sollicitent fortement les réserves minérales de l’organisme, diminuer l’apport d’aliments acidifiants ou acides peut s’avérer judicieux.
Erreurs commises parfois par les « adeptes » de différents régimes alimentaires.
- Il est bon de noter que nos habitudes alimentaires contribuent à « spécialiser » notre flore intestinale. Ainsi, celle d’un végétarien ne sera pas identique à celle d’un omnivore. Passer d’un « régime » alimentaire à un autre demande une période plus ou moins longue d’adaptation de cette flore (familles de bactéries et enzymes), sans quoi même la meilleure alimentation ne pourra être digérée et assimilée correctement.
Par exemple, certains vont consommer trop de crudités, donc de fibres alimentaires sans tenir compte de leur pouvoir individuel et réel à les digérer. L’excès de consommation de crudités est une notion très relative et dépend du pouvoir digestif propre à chaque personne. D’autres ne vont pas assez consommer de sources glucidiques, et vont se voir maigrir intensément, etc.
- Une mauvaise digestion pour « x » raisons peut être à l’origine de carences nutritionnelles, même si en amont l’alimentation est saine, équilibrée et adaptée sur le plan qualitatif et quantitatif au besoin réel d’un individu en particulier.
Parfois on observe des symptômes comme la chute de cheveux, des déminéralisations profondes avec leurs cortèges de symptômes, la perte de poids, la diarrhée, la constipation. Tout cela n’est souvent que l’illustration d’erreurs concernant la physiologie digestive. Ces symptômes sont souvent interprétés à tort comme des supposées crises de désintoxication. En réalité, cela illustre bien souvent des troubles de la flore intestinale - dysbiose et état inflammatoire de la muqueuse digestive - avec leurs cortèges de conséquences (maux ou symptômes) sur l’organisme. C’est parfois aussi l’expression d’un déséquilibre du régime alimentaire (manque de ceci ou excès de cela).
Des digestions chroniquement laborieuses (ballonnements, aigreurs, remontées gastriques, gaz...) peuvent être à l’origine d’une intoxication permanente de l’organisme consécutive à d’importantes fermentations et putréfactions intestinales. Des végétariens, végétaliens, crudivores ou végans sont ainsi parfois de véritables « usines à gaz ambulantes ». En effet on peut fabriquer d’importantes quantités d’alcool dans son organisme et être atteint de cirrhose hépatique sans boire pour autant une seule goutte d’alcool au quotidien. D’autre part, les troubles digestifs chroniques sont aussi à l’origine d’une "toxilymphémie" (intoxication du sang et de lymphe) par altération du bol alimentaire et déséquilibre de la flore intestinale. Cette situation pourra être à l’origine de pathologies d’éliminations telles qu’acné, eczéma, etc. L’intoxication de l’organisme peut générer à son tour l’acidification du corps et provoquer toutes sortes de troubles à terme.
NOTA
Les cancers du tube digestif (foie, estomac, pancréas) évoluent plus rapidement que les autres cancers. Cela s’explique entre autres par le fait que ces tumeurs sont constamment « alimentées » en toxiques et toxines diverses, en raison de l’état de délabrement de la flore intestinale qui imprègne en permanence ces tissus et organes. Cela a été observé de très nombreuses fois par différents professionnels de la santé tel que par le célèbre naturopathe Robert Masson.
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Quels sont les pièges à éviter lorsqu'on change d'alimentation?
Il est bon de noter que nos habitudes alimentaires contribuent à « spécialiser » notre flore intestinale. Ainsi, celle d’un végétarien ne sera pas identique à celle d’un omnivore.
Une mauvaise digestion pour « x » raisons peut être à l’origine de carences nutritionnelles, même si en amont l’alimentation est saine, équilibrée et adaptée sur le plan qualitatif et quantitatif, au besoin réel d’un individu en particulier.

Il est bon de noter que nos habitudes alimentaires contribuent à « spécialiser » notre flore intestinale. Ainsi, celle d’un végétarien ne sera pas identique à celle d’un omnivore.
Une mauvaise digestion pour « x » raisons peut être à l’origine de carences nutritionnelles, même si en amont l’alimentation est saine, équilibrée et adaptée sur le plan qualitatif et quantitatif, au besoin réel d’un individu en particulier.
Parfois on observe des symptômes comme la chute de cheveux, des déminéralisations profondes avec leurs cortèges de symptômes, la perte de poids, la diarrhée, la constipation.
Tout cela n’est souvent que l’illustration d’erreurs concernant la physiologie digestive.
Ces symptômes sont souvent interprétés à tort comme des supposées crises de désintoxication. En réalité cela illustre bien souvent des troubles de la flore intestinale - dysbiose et état inflammatoire de la muqueuse digestive - avec leurs cortèges de conséquences (maux ou symptômes) sur l’organisme.
C’est parfois aussi l’expression d’un déséquilibre du régime alimentaire (manque de ceci ou excès de cela).
Des digestions chroniquement laborieuses (ballonnements, aigreurs, remontées gastriques, gaz...) peuvent être à l’origine d’une intoxication permanente de l’organisme consécutive à d’importantes fermentations et putréfactions intestinales.
Des végétariens, végétaliens, crudivores ou végans sont ainsi parfois de véritables « usines à gaz ambulantes ». En effet on peut fabriquer d’importantes quantités d’alcool dans son organisme et être atteint de cirrhose hépatique sans boire pour autant une seule goutte d’alcool au quotidien.
D’autre part les troubles digestifs chroniques sont aussi à l’origine d’une toxilymphémie (intoxication du sang et de lymphe) par altération du bol alimentaire et déséquilibre de la flore intestinale. Cette situation pourra être à l’origine de pathologies d’éliminations telles qu’acné, eczéma, etc.
L’intoxication de l’organisme peut générer à son tour l’acidification du corps et provoquer toutes sortes de troubles à terme. Pour éviter ces différents symptômes liés à une digestion laborieuse, il suffit de respecter la physiologie digestive :
- Les associations alimentaires compatibles et incompatibles en évitant de consommer les fruits aqueux acides comme les agrumes (orange, citron, pamplemousse, mandarine, etc.) mais aussi tous les fruits aqueux mi-acides comme la pomme, la poire, la cerise, l’abricot, etc., à un repas où l’on a consommer des féculents ou céréales, car cela va entraver leur digestion et être à l’origine de gaz et de ballonnements.
- Ne pas boire de grandes quantités d’eau pendant un repas au risque de diluer à l’excès les sucs digestifs et entraver le processus digestif.
- Ne pas boire de jus de fruits, de sirop, de sodas, pendant un repas.
- Laisser passer 4 heures minimum après un repas avant de manger quoi que ce soit, même un bout de chocolat ou un biscuit.
- Laisser passer 2 heures après un repas avant de boire même de l’eau, sauf dans le cas d’une soif urgent et intense. Dans ce cas exceptionnel on boira juste un petit peu d’eau pris gorgée par gorgée.
- Certaines personnes vont avoir tendance à consommer trop de céréales ou de féculents ou d’amidon, ou à grignoter en permanence ces aliments, ce qui peut conduire à l’hémogliase (sang épais) ainsi qu’à l’excédent pondéral ou l’obésité. Cela peut aussi favoriser la production très élevée d’acides gras saturés d’où l’athérosclérose. Ces excès alimentaires peuvent en outre acidifier l’organisme.
Il suffira de modérer et de réduire sa consommation de ces aliments.
On peut préciser ici, qu’il est conseillé d’associer les glucides à des protéines au même repas, bien que certaines personnes affirment que cela est une association alimentaires incompatible.
L’apport de protéines contribuera à favoriser la sensation de satiété.
De plus la présence de sucre contribue à une meilleure assimilation des acides aminés issue des protéines animale, particulièrement.
Différentes personnes vont consommer trop d’oléagineux dans le but d’assurer leur besoin en acides aminés…, ce qui pourra être à l’origine d’un épuisement hépatique (mauvaise haleine, selles décolorées, teint jaune, nausées, perte d’appétit...).
- La consommation excessive de féculents ou de céréales associées à des légumineuses, favorise les troubles digestifs. Cet excès concerne particulièrement les personnes qui par cette pratique espère assurer un bon apport de tous les acides aminés essentiels.
- Certains adeptes du régime « macrobiote » peuvent altérer leur santé dans certains cas. L’alimentation macrobiotique met essentiellement l’accent sur les céréales complètes, les fruits et les légumes peu transformés. On trouve différentes « déclinaisons » de ce régime.
Ainsi certains « macrobiotes » consomment 70 % de céréales et 30 % de légumes avec un apport important de fritures parfois. Cette pratique est délétère pour le foie.
Il convient de réduire sa consommation de céréales et d’augmenter un peu sa consommation de légumes cuits et crus, tout en freinant sa consommation de fritures.
- On peut rencontrer parfois des gens qui consomment trop de fruits aqueux (nutriments + eau + acides, comme les agrumes mais aussi les pommes, poires, cerises, abricots, etc.). Dans ce cas, on pourra constater une perte de vitalité, de poids, de la sexualité, mais aussi de l’anémie, un assèchement de la peau et son vieillissement prématuré, une déminéralisation profonde de l’organisme, etc.
Ainsi dans certains cas, ce n’est pas le régime végétalien, végan ou crudivore qui est à remettre en question en valeur absolue mais la manière dont il est vécu avec des pratiques peu recommandables. Par exemple, certains consomment d’importantes quantités d’agrumes chaque jour ou boivent un litre ou plus de ces fruits quotidiennement.
Il est pertinent de réduire sa consommation de fruits aqueux acides et mi-acides en l’adaptant à sa capacité personnelle à oxyder ces aliments. Les personnes maigres et sous-vitales (sensible au froid, à la chaleur et à l’effort) auraient intérêt à consommer peu de fruits aqueux acides ou mi-acides.
Parmi les différents régimes évoqués dans cet article, certaines personnes qui les suivent, ne consomment pas assez d’oléagineux ou d’huile végétale. En effet, certains végétaliens ou végans (mais pas tous) considèrent que les fruits à coque (noix, noisette, etc.) ne constituent pas l’alimentation naturelle de l’homme et donc ne les consomment pas ou très peu.
De plus certains d’entre eux ne consomment pas d’huile en bouteille, car ils considèrent que c’est contre nature puisqu’ayant nécessité l’intervention de l’homme pour obtenir le produit transformé.
Un manque d’acide gras important comme les Oméga 3 ou 6, aura de nombreuses conséquences : troubles cognitifs, de l’humeur, de la mémoire, problèmes cardiovasculaires, etc.
En consommant à chaque repas une cuillère à soupe d’huile riche en oméga 3 ou 6 (chanvre, lin...) de première pression à froid et d’origine biologique, entre autres permettront de parer ces manques.
Même si le règne végétal est riche en protéines, différents crudivores, végétaliens, végétariens ou végans peuvent être carencés en acides aminés en raison d’une incapacité digestive à les extraire des végétaux.
Certains crudivores, végétariens, végétaliens ou végans (mais pas tous) affirment qu’ils ont faim en permanence durant la journée, bien qu’ils aient le sentiment de manger une bonne quantité de crudités, mais aussi de glucides sous forme de bananes ou de pommes de terre, par exemple.
Lorsque la satiété n’est pas atteinte de manière régulière, cela correspond à un « manque » au niveau sanguin ou intra-cellulaire.
Ce déficit peut concerner le glucose, les acides aminés ou d’autres molécules dont l’organisme a besoin.
Cette carence peut résulter d’une incapacité pour l’organisme à digérer correctement le bol alimentaire en raison de troubles digestifs ou d’un déséquilibre de la flore intestinale, ou d’une carence en enzymes digestives.
Dans d’autres cas, cela peut être le résultat d’une hypoglycémie réactionnelle, due à une résistance à l’insuline ou à la consommation excessive de sucres à indice glycémique élevé qui provoque une montée soudaine de glucose dans le sang. Cette dernière sera immanquablement suivie d’une hypoglycémie dite « réactionnelle » et de l’envie de manger de nouveau.
La solution est de réduire sa consommation de végétaux au moins momentanément et de procéder à un « réglage alimentaire individualisé » avec l’aide éventuellement d’un professionnel de la santé, afin de supprimer toutes les causes pouvant favoriser une digestion imparfaite et au contraire augmenter sa capacité digestive.
La carence en vitamine D d’origine animale ou végétale, pour différentes raisons.
La vitamine D est une vitamine liposoluble (soluble dans les graisses ou les lipides). Chez l’humain, la vitamine D se forme à partir d’un dérivé du cholestérol sous l’action des rayonnements UVB du soleil (D-cholécalciférol) et aussi suite à l’absorption d’aliments précurseurs en vitamine D, que le foie et les reins permettent de transformer en vitamine D active (D-ergocalciférol).
Avec l’âge (plus ou moins à partir de 65 ans), la carence nutritionnelle, les divers polluants alimentaires mais aussi atmosphériques, l’utilisation de crème solaire, etc., la synthèse de vitamine D par l’organisme diminue peu à peu.
La vitamine D fait l’objet de recherches scientifiques très importantes.
Au-delà de sa fonction notoire contre la décalcification et le rachitisme on apprend que la vitamine D, lorsqu’elle est présente en quantité suffisante dans le sang, contribue à moins de cancers, d’infarctus, de fractures, de douleurs articulaires, d’infections, de dépressions, voire même de démence, etc. (Voir le livre : Vitamine D, mode d’emploi de Brigitte Houssin aux éditions Thierry Souccar)
Une supplémentation en vitamine D est pertinente pendant les périodes froides d’octobre à mai environ, dans l’hémisphère nord. Choisir de préférence une vitamine D issue du lichen pour son apport en vitamine D3 et non de la suif de mouton souvent chargé en toxiques absorbé par le mouton tels que des produits phytosanitaires.
Auteur de l'article: Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste Créateur d’une nouvelle une école de naturopathie et d’hygiénisme sur internet à 100 % en E-learning : ENHED
Auteur, conférencier. Consulte à distance par tél ou par skype.
Tel : 09 50 24 05 34. www.ericdarche.com
Groupe Facebook ouvert à tous où vous pouvez le retrouver : Naturopathie, hygiénisme et alimentation vivante.
Attention aux faux aliments ou cracking
Le cracking et les AUT (aliments ultra transformés) sont aussi à l’origine d’un appauvrissement de la diversité du microbiote et/ou d’un déséquilibre de ce dernier, appelé dysbiose. Une alimentation pauvre en fibres et riche en AUT affaiblit aussi bien le microbiote que la muqueuse intestinale. Si cette dernière, qui joue le rôle de barrière, est détériorée, cela augmentera fortement les risques d’inflammation et de porosité intestinale.

Attention aux faux aliments ou cracking !!!
Vous consommez certainement des céréales, des yaourts, du pain de mie sans vous douter que ces produits, apparemment sains, peuvent être mauvais pour la santé. En fait ces aliments ultra transformés sont fabriqués de toute pièce par les géants de l’agroalimentaire.
- sucre caché
- Additifs
- aromes articiels
Ce n’est plus de la cuisine, c’est de la chimie.
Les scientifiques font des liens avec l’explosion mondiale de cas d’obésités et certains cancers.
Qu’est-ce qu’un produit ultra transformé ?
Sans le savoir ou sans s’en rendre compte, il est possible d’en avoir plein les placards.
Exemple : les céréales du petit déjeuner/ soupes de légumes/ produits laitiers….
Des produits que l’on pensait sains et équilibrés, sans jamais avoir regardé ce qu’ils contenaient vraiment.
-protéine de lait
-amidons modifié
-sucre
-gluten
-sirop de glucose fructose
-maltodextrine
-aromes
-carraghénane
Des listes d’ingrédients interminables et parfois vraiment incompréhensibles.
Les produits ultra transformés sont des produits industriels reconstitués à base de dizaine d’ingrédients, d’additifs, de mauvais sucre….
En plus ils ont perdus en qualité nutritionnelle.
« Donner des céréales le matin, c’est comme donner un bol de confiserie aux enfants » explique Anthony Fardet , chercheur en nutrition à l’lNRA de Clermont Ferrand, auteur du livre « Halte aux aliments ultra-transformés »
Il explique également ce qu’est le cracking et tire la sonnette d’alarme.
Le cracking est une technique industriel qui fractionne et recombine des aliments comme les céréales, les légumes, les fruits en dizaine de poudre (de protéines, d’amidons, de fibres…) et sirops pour re-frabriquer d’autres aliments.
Ils font des viandes qui ressemble à des filets de poulets par exemple, mais qui ne contient absolument pas de viande de poulet.
Bienvenue dans le monde des apprentis sorciers ou la fabrique des faux aliments.
« À force de décomposer les aliments, l’industrie fabrique de petites bombes sanitaire »
L’ultra-transformé, on l’a compris, c’est le craquage. Le craquage casse ce qu’on appelle la “matrice” de l’aliment. Or la matrice, c’est l’essentiel, la matrice de l’aliment, c’est son architecture. Deux aliments de même composition mais avec des matrices différentes n’auront pas le même effet sur l’organisme.
Tout ou presque, peut faire l’objet d’un cracking, comme le lait, duquel sera extrait la caséine, le lactérosum ou encore l’hydrolysat.
Pareil pour la pomme de terre, qui donnera : du sirop de glucose, du maltodextrine, de l’amidon transformé.
Ou encore, le riz, le maïs…..
De plus le cracking fait perdre en goût, les industriels doivent alors rajouter des arômes, des additifs, pour les rendre hyper palatable.
L’explosion des maladies chroniques est associée ou corrélée à cette consommation d’aliments fractionnées recombinés.
Comment lire les étiquettes ?
L’ordre des ingrédients sur les étiquettes est décroissant en termes de quantité.
L’ingrédient contenu en plus grande quantité est positionné en premier sur la liste et ainsi de suite.
Si le premier ingrédient de la liste est le sucre, dites-vous bien que c’est l’ingrédient majeur du produit.
Ensuite, fuir tous les produits mentionnant des additifs (E 400, 600…) bien entendu. Se munir de l’ouvrage de Corinne Gouget.
Et enfin, débusquer les ingrédients issus du cracking : gluten, sirop de glucose fructose, dextrose, amidon, caséine, maltodextrine, lysozyne, lécithine, ovalbumine, hydrolysat, lactérosum, polyol….. Liste non exhaustive.
Le cracking est une logique commerciale de rentabilité (ce sont des calories pas chère) et non une alimentation et une technologie au service de l’humain et de l’alimentation.
Attention à l’application Yuka et au nutriscore qui sont ultra réductionniste, car ils ne prennent pas en compte la teneur en vitamine, minéraux, oméga 3, ni la qualité bio, ni la présence d’additifs, ni le degré de transformation.
De plus l’application Yuka aveugle le consommateur qui ne remet pas en doute sa pertinence, et apprend à acheter sans aucun discernement propre, sans prendre de recul.
Exemple d’un produit noté B par le nutriscore :
Un sandwich Sodebo dans lequel il n’y a que 10% de thon et 7% d’œuf, sans aucune information sur la provenance des œufs. Il y a également du sucre dans le sandwich !
Mais aussi des additifs, des émulsifiants, du lactose, des colorants… Le Nutriscore ne tient pas compte de la composition du produit et ne se concentre que sur la partie nutriments. Or la partie composition en général (matières premières) est plus importante sur la santé que la teneur en protéines, en sucres, en sel et en graisses saturées.
Préférez l’application SIGA https://siga.care/ pour vos courses.
De manière général il est évidemment mieux de choisir des aliments bruts, vivants et bonne facture. Cf à l’article d’Eric Darche (les aliments vivants).
Auteur de l'article Julie Dorlet
Naturo-sophro-réflexo
Coaching sugar détox (aide à s'affranchir du sucre) https://djudjuvlr.wixsite.com/julie-style-de-vie
Mail: julie.d.naturo@gmail.com
Préparez vos jus d'herbe d'orge!
Avant de pouvoir réaliser le jus d’herbe d’orge, voici la méthode pour faire germer différentes graines.
Ensuite pour faire des jus, il faudra produire les pousses, puis vous pourrez en extraire le jus.
Toutes ces étapes sont décrites ci-après.

Avant de pouvoir réaliser le jus d’herbe d’orge, voici la méthode pour faire germer différentes graines.
Ensuite pour faire des jus, il faudra produire les pousses, puis vous pourrez en extraire le jus.
Toutes ces étapes sont décrites ci-après.
1°) Mode d'emploi des graines germées en général.
Germination des graines en général y compris les graines d'orge.
On utilise :
• soit des germoirs prêts à l’emploi vendus dans le commerce (à 2 niveaux et plus) ;
• soit un bocal de verre blanc (pot de récupération de conserve ou de confiture, par exemple). Il faudra en plus :
• du tissu de moustiquaire et un élastique par flacon, qui serviront de couvercle à travers lequel l’air pourra pénétrer ;
• des graines d’origine biologique récentes et en bon état ;
• de l’eau potable filtrée de préférence ou d’eau de source en bouteille en verre.
Le froid ralentissant la germination, il faut choisir en hiver une pièce suffisamment chaude (comme la cuisine).
On peut trouver dans le commerce des germoirs électriques très performant, pour conserver une température constante idéale.
Conseils.
Pour les débutants, il est conseillé de commencer par de toutes petites quantités : 1 à 2 cuillères à soupe, par exemple.
Les différentes étapes de la germination à respecter.
• Versez dans le bocal la quantité de graines nécessaire et faites tremper dans l’eau pendant environ 12 heures (utilisez de préférence une eau filtrée ou de source).
Les graines doivent être largement immergées dans un bon volume d’eau. Si elles ne sont pas très propres, on peut les laver à grande eau avant de les tremper. Pour les petites graines (comme la luzerne, le sésame, le tournesol décortiqué), la durée de trempage peut être ramenée entre 1 à 5 heures.
• Pendant la première phase de trempage, le bocal sera debout.
• Après cette période de trempage, rincez abondamment les graines, 1 à 2 fois par jour, avec de l’eau filtrée froide en été et de l’eau tiède en hiver.
• Pour la deuxième phase, le bocal sera placé horizontalement ou légèrement penché en oblique à environ à 30° pour que les graines puissent « respirer » et ne pas être entassées les unes sur les autres.
• Ne mettez pas une trop grande quantité de graines, afin de favoriser une bonne oxygénation.
• L’endroit choisi pour réaliser vos cultures doit être aéré, mais sans exposition trop forte à la lumière solaire.
• Après quelques jours de germination, les graines seront prêtes à la consommation.
• Pour le blé et les céréales, le germe peut avoir entre 1 à 3 mm de longueur.
• Les petites graines (radis, choux, etc.) peuvent être consommées jusqu’à ce que le germe ait 2 ou 3 cm.
• Pour le tournesol, la luzerne et le soja, les germes peuvent avoir de 6 à 7 cm. Ne consommez jamais la graine de soja elle-même, seulement la pousse.
• Ne faites pas germer les graines de solanées (comme la pomme de terre, l’aubergine, la tomate, le poivron).
2°) Consommation des graines germées
Les graines germées se consomment :
• soit seules (de 1 à 3 cuillerées à soupe le matin ou le midi de préférence) ;
• soit en association avec des crudités ;
• soit en association avec des fruits oléagineux (mais pas avec des fruits aqueux) ;
• soit en les incorporant à un potage ;
• soit en association avec des céréales (légumineuses germées et pâtes ou riz, par exemple) ;
• soit avec des galettes de céréales ;
• soit sous forme de graines germées pulvérisées et incorporées à des biscuits ; etc. Les graines germées en pousses Alors que la graine germée se consomme en germes d’environ 0,5 cm pour les céréales, elle se mange en pousses de 1 à 5 cm pour les légumineuses et les légumes.
3°) Mode d’emploi pour réaliser des jeunes pousses.
• Trempez pendant environ 12 heures les graines dans un bocal d’eau.
• Procurez-vous une caisse ou un plateau en plastique (avec un fond étanche si vous êtes est en appartement) et déposez-y environ 1 à 2 cm de terre non traitée issue d’une campagne ou de votre jardin.
• Humidifiez la terre avec une eau de bonne qualité, puis déposez les graines sans les entasser.
• Recouvrez la caisse d’un autre plateau ou d’un plastique sombre afin de préserver les graines de la lumière et de l’humidité.
• Assurez-vous, surtout en été, de la constance du degré d’humidité, en ayant recours si nécessaire à un pulvérisateur d’eau que vous utiliserez matin et soir.
• Dès que la racine apparaît au bout de quelques jours, enlevez le couvercle.
• Laissez pénétrer la lumière, mais n’exposez pas les jeunes pousses au soleil vif.
• La température idéale se situe entre 20 à 25° C.
• La consommation des pousses peut se faire après une période de 7 à 14 jours, selon l’espèce de la graine et les conditions de température ambiante.
• Les jeunes pousses peuvent se consommer associées avec des crudités, des graines germées ou des salades, etc.
Les jus d’herbe de blé ou d’orge.
Les jus d’herbes de blé ou d’orge, c’est un extraordinaire moyen de se revitaliser. Sportive de haut niveau, Karine Herry, qui est aussi médecin, a été 5 fois championne de France des 100 km et accumule les victoires sur la distance des 50 km. Autant dire que, pour réaliser de telles performances, il lui faut, outre une condition physique exceptionnelle, des apports alimentaires particulièrement étudiés.
« Mes 8 années de pratique de course pour arriver au niveau international ont provoqué un cortège de manifestations classiques liées à ma pratique régulière d’entraînements et aux compétitions de longue distance : infections ORL, herpès labial épisodique, troubles légers du sommeil et de la mémoire … La prise régulière de jus d’herbe d’orge, intégrée dans mon alimentation, a fait non seulement disparaître l’ensemble de ces troubles mais s’est avérée être un complément indispensable à la santé et même un atout de performance : en 10 jours seulement, effet net sur la qualité du sommeil, moins d’asthénie physique et intellectuelle au bout d’un mois. »
Ce témoignage est extrait de la revue Belle-Santé.
Malgré la grande richesse en nutriment du blé et les très bons résultats obtenus par Ann Wigmore dans son institut de santé Hippocrate avec le jus d’herbe de blé, quelques précisions sont néanmoins nécessaires.
Le jus d’herbe de blé produit une boisson à la saveur très sucrée qui ne convient pas à tout le monde, tant sur le plan gustatif que sur le plan biochimique. En cas de candidose, la mycose est nourrie par des aliments doux et sucrés, ce qui inclut l’herbe de blé douceâtre.
Le goût un peu amer de l’orge, surtout mélangé à un jus de carotte par exemple, convient mieux à de nombreuses personnes. Le docteur Yoshihide Hagiwara, chercheur japonais, après de longs travaux en laboratoire, a découvert que, parmi 200 plantes différentes ayant analysées, le jus de jeunes herbes d’orge qui fournissait les plus grandes quantités d’ingrédients actifs : vitamines, minéraux, oligo-éléments, enzymes et de puissants antioxydants. À l’état de pousse, l’orge ne contient plus de gluten. Le blé et le maïs sont les deux céréales qui ont été le plus modifiées par l’homme au cours des 2 derniers siècles et, en cette qualité, elles ne conviennent pas à tout le monde.
Mode d’emploi pour réaliser des jus d’herbes.
• Procurez-vous des bocaux ou germoirs et commencez par la germination des graines.
• Trempez les graines environ 12 heures, puis rincez. Ensuite, faites-les germer dans des bocaux
• Procurez-vous de la terre non traitée. Prélevez-la de préférence en un lieu boisé, dans les quelque 30 à 50 centimètres de terre sombre situés juste sous l’herbe ou sous les feuilles.
• Procurez-vous des plateaux d’environ 60 à 80 cm de long sur 15 à 20 cm de large, que l’on trouve dans une jardinerie. Ils servent en principe à récupérer l’eau des bacs destinés aux plantes. Une douzaine de plateaux seront nécessaires : 6 comme bacs et 6 comme couvercles.
• Il est conseillé de se procurer une étagère qui permettra de ranger les plateaux de manière méthodique. L’ensemble (plateaux et étagère) peut être placé dans la cuisine.
• Récupérez vos graines préalablement germées au bout de 2 à 3 jours, en fonction de la température, et dès que les racines deviennent visibles.
• Recouvrez l’un des plateaux d’une couche de 2 à 4 centimètres de bonne terre.
• Répandez-y les graines germées et répartissez-les sans les serrer les unes contre les autres, ni les empiler.
• Pulvérisez un peu d’eau sur les graines et la terre, modérément pour éviter les moisissures.
• Recouvrez-le tout d’un autre plateau et placez l’ensemble à un endroit où la température ambiante est de 20 à 25° C.
• Vérifiez chaque jour le degré d’humidité de la terre. N’arrosez que si nécessaire, en utilisant un pulvérisateur.
• En été, au bout de 2 à 3 jours, si la température est plus fraîche, ôtez le couvercle et exposer le plateau à la lumière, mais jamais directement au soleil vif. C’est l’équilibre entre lumière et ombre qui va produire une herbe de blé ou d’orge bien verte et bien fraîche.
• Il est important d’arroser ou d’humidifier la terre et les graines 1 à 2 fois par jour grâce à un petit pulvérisateur d’eau, vendu au rayon jardinerie des magasins de bricolage (utiliser de préférence de l’eau filtrée).
• Au bout de 7 à 8 jours, quand les pousses ou l’herbe auront atteint une taille de 8 à 15 centimètres au maximum, on pourra procéder à la récolte. La coupe doit se faire au ras de la base, car la plupart des nutriments s’y trouvent concentrés. Il est conseillé de rincer l’herbe avec une eau de bonne qualité, afin d’éliminer certains micro-organismes pouvant être à l’origine de diarrhées ou de « désordres » intestinaux.
On peut utiliser une essoreuse à salade pour évacuer toute l’eau. Si on ne peut faire autrement, il est possible de conserver au frigo l’herbe coupée dans des boîtes de plastique, pendant un maximum de 7 jours. Le jus devra être bu de préférence dès son extraction ou dans au maximum la 1/2 heure qui suit. 1 kg d’herbe de blé ou d’orge permet d’obtenir 300 grammes de jus ; un bouquet d’herbe de blé d’une épaisseur d’environ 1,5 centimètres de diamètre environ 3 centilitres de jus. Il est recommandé d’en consommer quotidiennement de 6 à 12 centilitres.
• Commencez tout d’abord par de petites quantités de 3 à 6 centilitres de jus pur ou mélangé avec d’autres jus de légumes, par exemple de carotte, pour atteindre par la suite la dose de 3 à 6 centilitres jusqu’à 3 à 4 fois par jour, afin de se régénérer ou en cas de problème de santé important.
• L’extraction se fait avec un broyeur spécial très fin, à main ou électrique, vendu dans les magasins de diététique ou par correspondance. Certaines firmes proposent tous ces matériels en vente par correspondance.
• On peut aussi tout simplement mâcher l’herbe de blé ou d’orge, mais on obtiendra ainsi que peu de jus. N’avalez pas les fibres, recrachez-les !
• Au centre Hippocrate en Floride, le jus d’herbe de blé est aussi utilisé comme implant rectal ou comme lavement. Les lavements destinés à nettoyer le côlon, suivis d’un implant d’herbe de blé, ont des effets très bénéfiques sur la santé. Sous la forme d’implant, purificateur du côlon, on insère du jus frais d’herbe de blé dans le rectum où il faut le garder une vingtaine de minutes avant de l’expulser.
• Mettez, dans une poire à lavements stérile, 3 à 6 centilitres de jus d’herbe de blé frais que vous insérerez dans le rectum. Puis, après les avoir évacués, quelques minutes plus tard, refaites un implant de 3 à 6 centilitres de jus que vous laisserez s’éliminer naturellement dès que le besoin s’en fait sentir, le plus souvent après une vingtaine de minutes. Dans bien des cas, l’organisme aura absorbé tout le jus.
• Au centre Hippocrate, le jus d’herbe de blé est aussi utilisé en applications locales sur la peau pour la régénérer ou en cas de démangeaisons, de brûlures, d’égratignures, d’irritations, de piqûres, etc.
NOTA.
Pour ceux qui sont intéressés par les jus d’herbe mais ne peuvent pas le réaliser eux-même, on peut trouver dans le commerce de la poudre de jus d’herbe d’orge ou de blé ou de la poudre de jus d’herbe d’orge ou de blé ; très intéressant sur le plan nutritionnel.
Différence entre la poudre d’herbe d’orge et la poudre de jus d’herbe d’orge.
La poudre de jus d’herbe d’orge est un peu plus chère que la poudre d’herbe d’orge, mais cela s’explique par le fait que la poudre de jus d’herbe d’orge est débarrassée de la cellulose, ce qui permet de la concentrer en divers nutriments tels que des vitamines, minéraux, oligo-éléments, etc.
Auteur de l'article: Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste Créateur d’une nouvelle une école de naturopathie et d’hygiénisme sur internet à 100 % en E-learning : ENHED
Auteur, conférencier. Consulte à distance par tél ou par skype.
Tel : 09 50 24 05 34. www.ericdarche.com
Groupe Facebook ouvert à tous où vous pouvez le retrouver : Naturopathie, hygiénisme et alimentation vivante.
Comment améliorer son alimentation pour favoriser un bon équilibre nerveux
Une expérience a été menée aux Etats-Unis au Lycée Appleton, ou sont accueillis des élèves ayant des problèmes comportementaux plus ou moins graves. L’objectif était de ne pas instaurer une discipline spéciale, mais de réguler leur comportement par une alimentation bien étudiée, sans colorants ni conservateurs ni ajouts chimiques, composée principalement de céréales complètes, de fruits et légumes frais, sans friture.

Une expérience a été menée aux Etats-Unis au Lycée Appleton, ou sont accueillis des élèves ayant des problèmes comportementaux plus ou moins graves. L’objectif était de ne pas instaurer une discipline spéciale, mais de réguler leur comportement par une alimentation bien étudiée, sans colorants ni conservateurs ni ajouts chimiques, composée principalement de céréales complètes, de fruits et légumes frais, sans friture.
Les plats étaient réalisés sur place, sans conserves. Il n’y avait pas de distributeurs de sodas ; l’eau était servie à volonté. Le directeur de l’établissement a remarqué d’importants changements dans le comportement des élèves, qui s’est très largement amélioré.
Il a notamment observé une baisse de l’agitation et une amélioration de la concentration en classe ; les élèves obtenaient de bien meilleurs résultats pour un budget similaire à celui des autres écoles !
D’autres expériences analogues ont été réalisées en Suède et au Danemark avec des résultats identiques et ce, dans différents collèges. D’après les responsables de ces établissements, les formes d’agressivité entre les jeunes ont considérablement baissé et les résultats scolaires se sont, dans l’ensemble, nettement améliorés. Ceci uniquement grâce au recours à des produits alimentaires de qualités, à dominante bio-végétarienne, non raffinés et crus.
On se plaint de plus en plus du comportement des jeunes, de l’hyperactivité de certains d’entre eux, de leur manque de concentration en classe, de leur démotivation, de leur agressivité.
Comment expliquer que les jeunes des générations précédentes, sans être pour autant des anges, semblent moins concernés par ces comportements dits asociaux ?
La nouvelle génération a-t-elle décidé, du jour au lendemain, d’adopter ces comportements excessifs, pour le seul plaisir d’être diffèrent, de provoquer, ou cela s'explique par d’autres causes ?
Et dans ce cas, quels sont les éléments qui permettent d’expliquer ces attitudes agressives ?
On peut penser, bien sûr et à juste titre, à l'éducation permissive de certains parents, à la violence si souvent exprimée dans les médias (télévision, films, journaux, jeux-vidéos, etc.), au stress croissant auquel nous sommes tous plus ou moins confrontés, etc.
Mais il ne faudrait surtout pas sous-estimer un autre facteur souvent ignoré, qui contribue pour une large part à la genèse des difficultés relationnelles que bien des jeunes rencontrent aujourd’hui, et qui peut se résumer d’un mot : l’alimentation.
Chacun sait que l’alcool, même consommé par une personne équilibrée mentalement et physiquement, peut, en un laps de temps très court, affecter son comportement psychique et être à l'origine d’actes délictuels et de violence.
Mais, lorsqu’il s’agit d’alimentation, l’idée semble beaucoup plus difficile à accepter. Pourtant, les conséquences peuvent bel et bien s’avérer tout aussi redoutables.
Une alimentation dénaturée, riche en produits raffinés et en produits de synthèse divers et variés, par exemple, les préparations de type fast-food , si appréciées des jeunes, ne peut que contribuer au déséquilibre biochimique du cerveau et faciliter les excès de violence.
Ne pas oublier que les troubles de santé et particulièrement les troubles de santé mentale sont en relation avec :
- des carences micro-nutritionnelles, (on pensera bien sûr aux carences générées par l’alimentation mais elles peuvent aussi concerner tous les autres facteurs de santé.)
- des toxique alimentaires, auxquels il faut ajouter tous les toxiques quelque soit le domaine (émotionnel, excès de stress en tous genre, mais aussi les toxique de l’air, de l’eau, de la terre, etc.)
- Les excès alimentaires mais concerne aussi tous les domaines déjà énumérés ci-dessus.
Comment améliorer son alimentation pour favoriser un équilibre nerveux et psychique ?
Il sera nécessaire de supprimer les sources d’aliments raffinés ; aliments composés de sucre raffiné ou à indice glycémique élevé qui provoquent une forte concentration de sucre dans le sang en très peu de temps :
Sucre blanc incorpore ou rajoute aux aliments, maltose, glucose, fructose raffiné, confiseries, barres chocolatées, biscuits et pâtisseries en général (sauf s’ils sont issus de farines complètes ou semi complètes), sodas, cola, hamburgers (composes de pain mou raffine), frites dont l’indice glycémique est très élevé (correspond a une concentration en sucre, même s’il s’agit de sucre complexe), pain blanc, riz blanc, pâtes, blanches, céréales du petit déjeuner de type cornflakes, fécules de pomme de terre, amidon de maïs, malto-dextrine, chips, pop-corn, gâteaux de riz, riz soufflé, semoule raffinée, viennoiseries du commerce traditionnel.
Attention aux sodas, jus de fruits industriels, biscuits ou autres préparations riches en sucre ajouté comme le fructose raffiné et le sirop de glucose-fructose ou dextrose. Ces sucres contournent les mécanismes de régulation de l’appétit (peu de sécrétion d’insuline
et de leptine) et favorisent la surconsommation de calories et, dans certains cas, la prise de poids.
Les animaux, auxquels on donne un régime riche en fructose raffiné, se mettent à manger davantage et leur poids, ainsi que leurs graisses corporelles, augmentent.
Le fructose, raffiné en grande quantité, induit des problèmes hépatiques semblables à ceux des alcooliques, chez les animaux qui en consomment beaucoup.
Parallèlement à la consommation d’aliments raffinés, une autre erreur majeure, en diététique, consiste à grignoter entre les repas. Certains enfants et adolescents arrivent ainsi a manger entre 15 et 20 fois par jour. Il sera nécessaire de supprimer les grignotages incessants entre les repas. Comme l’a souvent fait remarquer le naturopathe Robert Masson, le grignotage incessant constitue une ≪ méga-nuisance ≫ alimentaire.
LES GLUTAMATES
Son apport régulier et important, via l’alimentation, peut entraîner de nombreux problèmes neurologiques (incluant des lésions cérébrales).
Dans un numéro de la revue française Panorama Médical, on pouvait lire :
≪ Les doses de glutamate ingérées par les enfants sont parfois si élevées qu'administrer à dose identique oralement à un jeune animal, elles entraîneraient la destruction pure et simple
du système nerveux central. Un enfant de 10 ans ingère, dans un sachet de soupe instantanée,
entre 1000 et 1300 mg de glutamate, soit une quantité bien supérieure à celle qui tue les noyaux cérébraux des cobayes. ≫
Le glutamate peut provoquer, dans certains cas, la dégénérescence du système nerveux, des troubles neuropsychiatriques, des maux de tête, etc.
LES PHOSPHATES
Les phosphates sont des substances chimiques ayant tendance à conserver la couleur et à retarder la détérioration des aliments. Ils peuvent également rendre les produits alimentaires plus doux en augmentant la quantité d’eau qu’ils contiennent. Étant donné que l’addition d’eau aux aliments ne leur coûte pratiquement rien, les industriels sont tentés d’utiliser à cette fin des polyphosphates pour augmenter leur volume et leur poids.
Les symptômes engendrés par les phosphates peuvent être : l’hyperactivité, le déficit de l’attention, une agitation anormale, une faible capacité de concentration, une mauvaise gestion du sommeil, des difficultés de parole (dyslexie), des difficultés psychomotrices, de l’agressivité, une situation d’échec matériel et social malgré un QI souvent supérieur à la moyenne.
Les TOC (troubles obsessionnels compulsifs), les tics, la dyskinésie relèvent également de ce
syndrome. Dans certains cas, on peut faire disparaître la dyslexie par un régime sans phosphates.
Les phosphates alimentaires sont présents dans certaines boissons au thé, certains sodas à l'orange ou au citron (acide citrique plus sucré), les colas (dont l’acide phosphorique est récemment passé de 0,55 à 0,70 g/l, soit une augmentation de 27 % imaginée par
les manufacturiers uniquement dans le but d’entretenir la soif), les barres chocolatés, le chewing-gum, le riz incollable (enrobage phosphate), la levure chimique pour gâteaux (pyrophosphates : 40 g/kg de phosphates), certaines pâtes à la noisette et au chocolat,
les poudres chocolatées et autres chocolats industriels, le vin blanc d’Alsace (qui contient du phosphate).
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Après avoir supprimé toutes les causes des troubles du système nerveux, suivre le plan alimentaire conseillé.
1) - Le repas du matin ou petit-déjeuner
Plusieurs variantes sont possibles.
La boisson peut être consommée soit juste avant le lever, soit au lever (30 minutes avant le petit-déjeuner). La digestion de ce dernier en sera plus aisée : cela évitera les lourdeurs digestives.
La boisson peut aussi être prise pendant le petit-déjeuner lui-même. Il faudra boire une quantité modérée de liquide pour ne pas trop ralentir la digestion. On pourra choisir une infusion, du malt, une chicorée, un thé, un lait d’amande, de noisettes ou de châtaignes, ou encore un jus de légumes non lacto-fermenté. L’idéal serait de le réaliser soi-même à partir de produits d’origine biologique grâce à un extracteur de jus.
Aliments à inclure dans le petit-déjeuner (si l’on est intolérant à certains aliments proposés ici, bien évidemment il ne faudra pas en tenir compte et donc le consommer) :
- soit du pain semi-complet ou complet d’origine biologique et des oléagineux variés où prédominent les noix (recommandé pour les enfants et adolescents) ;
- soit du pain beurré en quantité modérée et de temps en temps et seulement d’origine biologique ;
- soit une variété de fruits secs (dattes, figues ou bananes séchées);
- soit une variété de fruits amylacés (châtaignes ou bananes);
- soit du pain et 1 ou 2 œufs à la coque (déjeuner particulièrement nourrissant et équilibré);
- soit une variété de graines germées (par exemple, 2 à 3 cuillères à soupe de tournesol germé, de blé germé, de sésame germé, de luzerne germée, etc.).
Prendre soin de bien mâcher tous les aliments.
N’hésitez pas à changer régulièrement de petit-déjeuner pour éviter la monotonie et favoriser l’équilibre alimentaire.
Important.
Pour ne pas souffrir de troubles digestifs (comme des ballonnements, des gaz, des brûlures, des diarrhées), il est recommandé de ne pas associer le pain, les pommes de terre ou les céréales aux aliments acides ou trop concentrés en sucre de digestion rapide, qui bloquent les processus de digestion, tels que :
- Fruits frais ou secs et jus de fruits : orange, citron, pamplemousse, pomme, raisin, fraise, poire, cerise, pêche, ananas, banane, figue, datte, abricot, raisin, pruneau, etc. Seuls les fruits oléagineux (amande, noix, noisette)sont compatibles avec les féculents ou les céréales.
- Jus lacto-fermentés, mueslis et crème Budwig, yaourts de lait de vache ou de soja, et tout liquide à base de soja cru.
2) - Le goûter vers 16 h ou 17 h (facultatif)
Collation légère, consommée 2 heures minimum avant le repas du soir et seulement si l’on a vraiment faim. Prendre :
- soit un fruit aqueux (consommé seul et non associé avec d’autres aliments): orange, citron, pamplemousse, etc. en fonction du terrain organique
- soit un fruit amylacé : châtaignes, banane, marrons, etc., selon l’intensité de l’activité physique
- soit quelques fruits secs : dattes, figues, pruneaux, bananes séchées, etc., selon l’intensité de l’activité physique ;
- soit une compote de pommes froide ou chaude ;
- soit une tisane non sucrée ou de l’eau de source si l’on a soif.
Étant des glucides complexes concentrés et de digestion longue, les féculents (tels que le pain, les gâteaux, les pâtisseries) devront être évités avant le repas du soir au goûter.
Ceci étant dit, il faut considérer la capacité digestive individuelle et l’intensité de l’activité physique qui, dans certains cas, permettent et nécessitent la consommation de quantité modérée de féculents.
3) - Les repas de midi et du soir
- Crudités à l’entrée : carottes, betteraves, céleris, navets, salades, etc., d’origine biologique de préférence. À bien mâcher.
On peut y ajouter des graines germées de céréales, de légumineuses ou de papilionacées : kamut, blé, seigle, lentille, petits pois, azuki, luzerne, fenugrec, etc.
On peut aussi complémenter avec de jeunes pousses de céréales, de légumineuses ou de papilionacées et un peu d’algue d’origine biologique : Dulse, Nori, ou Wakamé, etc. (Attention au mercure et arsenic etc., contenu dans certaines algues et surtout la chlorella, demander des analyses.)
L’usage des aromates est conseillé : oignons, ail, olives noires, etc. Il est recommandé aux personnes quelque peu sensibles sur le plan digestif de consommer à midi des crudités riches en fibres - comme la carotte, la betterave, le céleri et le navet - et le soir, par contre, des crudités plus tendres - comme la courgette, le concombre, la laitue, l’endive, etc.-
- Féculents et céréales: pommes de terre, pâtes, riz, millet, sarrasin, quinoa, seigle, orge, maïs, avec ou sans légumes cuits. Ces derniers ne sont pas indispensables s’il y a des crudités, mais on peut tout à fait consommer un plat d’aubergines à la provençale par exemple. Si l’on n’est pas allergique aux produits laitiers, on peut rajouter de temps en temps un peu de fromage râpé de bonne qualité d’origine biologique de préférence, sur les pâtes.
- Protéines :viande, poisson, œufs (à la coque de préférence),fruits de mer, légumineuses trempées la veille dans de l’eau ou germées pour en faciliter la digestion. Les aliments marins, poissons et fruits de mer seront de préférence d’origine sauvage, et la viande biologique.
- Lipides : 1 cuillère à soupe d’huile de noix ou de colza (de temps en temps rajouter, de l’huile d’olive et de l’huile de tournesol),mais impérativement vierge de première pression à froid et d’origine biologique. Cette huile servira pour l’assaisonnement des crudités, en y ajoutant, par exemple, un peu de sel marin complet bio ou de la fleur de sel bio.
4) - Dessert
Éventuellement une tarte aux pommes ou une compote de pommes, ainsi que toutes les tartes aux fruits cuits (sauf celles où les fruits restent acides malgré la cuisson, comme les abricots ou les groseilles).
Un peu de chocolat cru de bonne qualité est une autre possibilité.
Il faut surtout éviter de prendre au dessert des aliments susceptibles de troubler la digestion (comme l’a d’ailleurs si bien démontré le naturopathe Robert Masson), tels que :
- les fruits frais, les fruits secs, les jus de fruits et les aliments contenant du jus de fruits (comme certains desserts ou compotes) ;
- les sirops ;
- les sodas, les colas ;
- le miel ou les aliments en contenant (pain d’épices) ;
- l’hydromel (boisson à base de miel);
- les jus lacto-fermentés ;
- les müeslis et les crèmes Budwig ;
- les yaourts ;
- le fromage blanc ;
- les yaourts au soja ;
- tout liquide ou aliment à base de soja cru ;
- les glaces et les sorbets, à cause du froid qui peut freiner la digestion et la compromettre.
Renseignement à propos de l’auteur.
Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste
Créateur d’une nouvelle une école de naturopathie et d’hygiénisme sur internet à 100 % en E-learning : ENHED
Auteur, conférencier. Consulte à distance par tél ou par skype.
Tel : 09 50 24 05 34.
www.ericdarche.com
Groupe Facebook ouvert à tous où vous pouvez le retrouver : Naturopathie, hygiénisme et alimentation vivante.
Comment rééquilibrer le terrain?
S‘il y a une notion de priorité qu’il faut connaître et respecter dans la santé holistique et en naturopathie, c’est bien les connaissances sur le terrain. Elles sont directement liées au développement de la maladie.
LES ALIMENTS ALCALINISANTS
Après oxydations, ils donnent un résidu alcalin, c’est-à-dire, qu’ils comportent une grande proportion d’éléments alcalinisants (sodium, calcium, magnésium, potassium).

LES ALIMENTS ALCALINISANTS
Après oxydations, ils donnent un résidu alcalin, c’est-à-dire, qu’ils comportent une grande proportion d’éléments alcalinisants (sodium, calcium, magnésium, potassium).
Il s’agit des légumes en général et de certains fruits :
— Tous les légumes verts (sauf l’oseille, la rhubarbe et la bette).
— Tous les légumes colorés (carotte, betterave, etc.) sauf la tomate.
— L’amande, le sésame, la noix du Brésil, la châtaigne.
— Les fruits secs (datte, raisin sec, figue sèche), sauf l’abricot.
— Le melon, la pastèque, la banane.
— La pomme de terre.
LES ALIMENTS ACIDIFIANTS
Après oxydation, ils donnent un résidu acide comprenant une grande proportion d’éléments acidifiants (soufre, phosphore et chlore, iode).
Sont concernés :
— La viande, la volaille, la charcuterie, le poisson, les extraits de viande, les œufs, le fromage (les fromages forts sont plus acides que les doux), les produits laitiers riches en petit-lait (yaourt, lait caillé, fromage blanc, kéfir).
— Les corps gras animaux, les huiles durcies ou raffinées, les céréales complètes ou non (blé, avoine, seigle, etc.), le pain, les pâtes, les flocons et aliments à base de céréales, les légumineuses (arachides, soja, haricots blancs, fèves).
— Les sucres raffinés et blancs, les sucreries, les sirops, les boissons industrielles, les limonades et boissons à base de cola, les sodas, les pâtisseries, les limonades et boissons à base cola, les sodas, les bonbons, les confitures, les fruits confits, les fruits oléagineux tels que la noix, la noisette sauf l’amande et la noix du brésil, le thé, le café, le cacao, le vin, le vinaigre et la moutarde.
LES ALIMENTS ACIDES OU SEMI-ACIDES
Ils se reconnaissent aisément à la saveur. Il s’agit des citrons, des pamplemousses, des oranges, des pommes, des cerises, des prunes, des abricots, des groseilles, du cassis, des framboises, des jus de fruits, du jus de citron dans la sauce à salade, des légumes acides (tels que la tomate, la rhubarbe, l’oseille, le cresson, le pourpier, l’aubergine), du miel.
Ces derniers ont une action acidifiante ou alcalinisante variable suivant la personne qui les consomme.
En effet, dans le cas des aliments naturellement acides qui n’ont pas fait l’objet de transformation industrielle, l’organisme, après avoir oxydé les acides citriques, maliques, tartriques, ascorbiques, lactiques, quiniques, sous forme d’oxydes de carbone et d’eau, va pouvoir récupérer les minéraux alcalins de ces aliments (calcium, potassium, sodium, etc.), et donc se minéraliser grâce à ces produits.
Mais dans le cas des personnes souffrant d’une faiblesse métabolique et enzymatique, d’où découlera une faible capacité de combustion et d’oxydation des acides, ces derniers seront stockés et contribueront à l’acidification de l’organisme. Dans d’autres cas les acides seront neutralisés ou « tamponnés » au détriment de la densité osseuse c’est-à-dire que l’organisme va ponctionner une partie des minéraux « basiques » des os pour rééquilibre le pH sanguin. Ce mécanisme peut être à l'origine, entre autres, de certaines ostéoporoses.
Cette difficulté de l’organisme à neutraliser les acides pourra s’exprimer par une frilosité, une nervosité excessive, l’hyperémotivité, une tendance dépressive, la fatigue associée à un manque d’énergie chronique, la faiblesse du système immunitaire, une physionomie longiligne et en général, une grande pâleur due à la contraction des capillaires, (le taux d’hémoglobine étant normal), des maux de tête, des yeux larmoyants et sensibles, une sensibilité au froid, à la chaleur ou à l’effort etc.
Les laitages présentés officiellement comme une bonne source de calcium (mais pas très assimilable) et constituent des aliments acidifiants et ayant un indice insulinique élevé.
Comme le précisent les études de l’École de Harvard, dont parle le journaliste Thierry Souccar ; paradoxalement c’est dans les pays où l’on consomme le plus de laitages que l’on constate les plus forts taux de fractures, comme la Suède par exemple.
L’os a besoin de calcium et de vitamine D, mais aussi et surtout d’un équilibre acido-basique apporté par l’alimentation. Il ne s’agit pas ici d’exclure radicalement les produits laitiers mais d’encourager leur consommation modérée.
La majorité des aliments qui constituent les sandwiches des fast-foods, mise à part la feuille de salade, sont des aliments acidifiants qui ne respectent pas la notion d’équilibre acide-base si importante pour l’organisme. En effet pour favoriser l’équilibre minéral de l’organisme et l’ossification du jeune enfant, il ne suffit pas de favoriser seulement la consommation d’aliments pourvoyeurs de calcium.
Ceci étant dit, le schéma alimentaire des fast-foods peut être largement reproduit en dehors de ces restaurants. Que cela soit à domicile, entre amis ou n’importe où.
Certaines études montrent une multiplication par trois à cinq des fractures chez les adolescents qui consomment régulièrement des boissons acides (les softs drinks ; cf article de la revue Nutranews).
À propos des boissons à base de colas que l’on peut trouver dans les menus fast-foods, et selon une étude américaine relayée par la revue « Que choisir santé », il a été établi que les femmes consommant plus d’une canette de cola par jour présentent une moindre solidité des os. L’auteur Katherine L. Tucker, chercheuse à l’Université Tufts de Boston, explique que le rôle néfaste des colas sur les os avait déjà été suspecté auparavant.
En effet, on avait constaté que les adolescents qui buvaient beaucoup de colas présentaient un risque accru de fracture. Mais cette fragilité était expliquée par le fait que la consommation de ces sodas avait lieu au détriment d’autres boissons riches en calcium et favorisant la solidité des os. Cette interprétation ne vaut plus ici : même à apports en calcium égaux, une consommation élevée de colas a bien été associée à une moindre solidité des os. Les chercheurs soupçonnent ici, l’acide phosphorique, présent dans les colas, de favoriser la fragilité des os. Des études sont en cours pour étayer ce phénomène.
Des expériences in vitro indiquent que l’acidose métabolique provoque une libération de calcium par les os qui, à l’origine est simplement due à une dissolution physico-chimique du minéral. Sur une base plus chronique, l’acidose métabolique altère le fonctionnement des cellules osseuses : elle provoque une augmentation de la résorption osseuse ostéoclastique (décroissance de la densité osseuse) et une diminution de la formation osseuse ostéoblastique. (Idem : décroissance de la densité osseuse)
Les boissons industrielles acides, contribuent dans bien des cas à la déminéralisation de l’organisme. Chez les enfants cela favorise une fragilisation des os. Et à long terme, cela participera au processus menant vers l’ostéoporose.
Le stress en excès, quelqu’un soit l’origine (visuel, sonore, affectif, relationnel, etc.) contribue à l’acidification de l’organisme. Par contre, la respiration ample et au grand air, contribue à favoriser l’alcalinisation de notre organisme ainsi que les massages, la relaxation, l’écoute de musique harmonieuse, etc.
Pour contribuer à la restauration de l’équilibre acido-basique, l’on peut avoir recours entre autres, aux jus de légumes que l’on réalise soi-même à partir de produits bio. On peut aussi avoir recours à des compléments alimentaires comme la poudre de jus d’herbe d’orge qui est très alcaline, mais aussi l’eau de mer mais de bonne qualité garantie, les graines germées que l’on réalise soi-même de préférence à l’aide d’un germoir, etc.
Conseils pour optimiser votre achat d’eau de mer et de poudre de jus d’herbe d’orge.
A propos de l’eau de mer ou plasma marin très riche en minéraux et oligo-éléments, il est important de préciser que l’on doit tenir compte de la notion de qualité avant d’opter pour tel ou tel produit. En effet cette eau doit avoir été prélevée non pas près des côtes mais au large et en respectant une certaine profondeur d’extraction entre autres. Autrement on peut se retrouver avec une eau de mer ne remplissant pas les conditions de qualité et d’hygiène nécessaire et indispensable pour assurer une excellente qualité au consommateur.
Puis en ce qui concerne la poudre d’herbe d’orge, il est souhaitable de connaître quelques notions ou paramètres afin d’optimiser le choix de ce produit.
Tout d’abord il vaut mieux opter pour une poudre de jus d’herbe d’orge et non pour une poudre d’herbe d’orge. La différence entre les deux est que la poudre de jus d’herbe d’orge a été « débarrassée » des fibres. Dire cela ne veut pas dire que les fibres n’ont pas d’intérêt mais dans le cas d’espèce, leur retrait permet une plus grande concentration et assimilation des nutriments apporté par la poudre de jus d’herbe d’orge. Les fibres quant à eux, seront apportées en parallèle par la consommation de fruits et légumes entier et consommer « à la croque », indispensable dans une alimentation saine et équilibrée. D’autre part, cette poudre de jus d’herbe d’orge devra être garantie d’origine biologique.
Renseignement à propos de l’auteur.
Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste.
Créateur d’une nouvelle une école de naturopathie et d’hygiénisme sur internet à 100 % en E-learning :
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Le contact avec la nature est-il une nécessité ?


Dissocier protéine et féculents, quel impact sur la santé?
Par l’absence de certaines associations comme les sucres avec les autres aliments, on freine l’assimilation au niveau cellulaire et donc on maigrit (C’est un régime hypocalorique par manque d’assimilation cellulaire).

Dissocier protéine et féculents, quel impact sur la santé?
Ils consistent à faire des repas n’incluant pas en même temps des protéines et des féculents. On fera chaque jour des repas ne comprenant qu’une seule classe alimentaire, par exemple une journée uniquement de fruits.
Exemple de composition de repas dissocié :
le matin : un repas de fruits aqueux ;
le midi : crudités/légumes, plus éventuellement des légumes cuits, accompagnés d’aliments protéiques comme de la viande, du poisson ou des fruits de mer, ou des œufs, ou des oléagineux ;
le soir : crudités/légumes, plus éventuellement des légumes cuits, plus un aliment (des pommes de terre, du riz, des pâtes, du pain, du millet, du sarrasin, du quinoa ou d’autres céréales).
NOTA.
Comme on vient de le voir, le régime dissocié s’exprime de différentes manières.
- Soit on fait chaque jour un repas ne comprenant qu’une classe alimentaire.
- Soit on associe des aliments ensemble comme les protéines et les crudités, mais on n’ associe jamais les protéines et les féculents ensemble.
Différentes personnes sans suivre un régime dissocié dans le but de perdre du poids ou encore de le «gérer», n’associent jamais les protéines et les féculents au même repas. S’ils suivent cette préconisation c’est pour respecter la règle des associations alimentaires compatibles et incompatibles, car selon eux, il existerait un antagonisme entre la digestion des féculents et des protéines, comme l’a affirmé l’hygiéniste Schelton.
PS. A l’époque de Schelton, cette affirmation semblait juste, au moins au niveau théorique. En effet, c'est un peu plus tard que l’on a eu les moyens techniques de suivre en temps réel grâce à des micro-caméras ou fibre optique, la transformation complète d’un repas à l’intérieur des organes digestifs.
Ce qui est vrai, c’est que les féculents ont besoin d’un pH alcalin ou très légèrement acide pour que la digestion puisse avoir lieu correctement, ce qui est le cas lorsque l’on consomme des céréales ou des féculents tout seul, ou encore associé avec des aliments plutôt alcalin comme les crudités légumes.
1er exemple de repas.
Lorsque l’on consomme un repas de crudité associé à des protéines comme la viande, le poisson, les œufs ou les fruits de mer, sans la présence de glucide, très rapidement comme le précise Robert Masson, il y aura une sécrétion stomacale d’acide chlorhydrique et de pepsinogène.
Le pepsinogène au contact de l’acide chlorhydrique sera transformé en pepsine.
Les protéines sous l’action de la pepsine vont être transformées en peptones. C’est le premier stade de la digestion des aliments protéiques. Une partie même de l’aliment protéique sera transformé sous l’influence de l’acide chlorhydrique et de la pepsine en acide aminés à environ 20 à 30 % selon les individus.
2ème exemple de repas.
Lorsque l’on consomme un repas de crudité associé à des protéines comme la viande, le poisson, les œufs ou les fruits de mer, mais cette fois-ci avec la présence de glucides (céréales ou féculents) la digestion se réalise ainsi.
Sous l’influence de la ptyaline salivaire, le farineux ou le féculent sera transformé dans l’estomac en maltose mais cette transformation, déjà commencé dans la bouche, ne pourra se poursuivre dans l’estomac que si le pH reste légèrement acide voir alcalin (6 à 7).
Mais dans ce second exemple, la présence de protéine à ce repas, pourrait suggérer l’idée que la transformation du farineux ou du féculent ne pourra se poursuivre normalement, en raison de la sécrétion d’acide chlorhydrique très acide (pH de 1 à 2), que les protéines vont provoquer au niveau stomacale. En effet, les protéines animales ont besoin d’acide chloridrique pour être digérées.
C’est là qu’intervient toute « l’intelligence somatique » de notre organisme, qui va provoquer la sécrétion d’acide chlorhydrique de manière différé, soit environ deux heures après le début de la digestion des féculents ou céréales, ce qui permet d’éviter un antagonisme digestif.
PS. Dire cela, ne veut pas dire pour autant, qu’il n’existe aucune association alimentaire incompatible, comme par exemple l’association féculents et fruits aqueux acides ou mi-acides. En fait, certaines associations alimentaires sont compatibles et même nécessaires en termes d’assimilation au niveau cellulaire comme l’association protéine-féculante ou céréale. Tandis que d’autres sont néfastes à l’équilibre de la flore intestinale et à l’intégrité de notre organisme.
Comme le précise Robert Masson, l’estomac s’adapte à la nature biochimique du repas mais jusqu’à certaine limite. Ce naturopathe précise que le lecteur pourra avoir confirmation de ces notions fondamentales ignorés par de nombreuses personnes -qui affirment le contraire en raison de leur raisonnement purement théorique souvent influencés par les propos de l’hygiéniste Shelton- en lisant le livre « Les aliments dans le tube digestifs) de MM. Bernier-Adrian et Vidon chez Doin éditeur. (Edition 1988)
(J. Adrian, Professeur de biochimie, J.J Bernier Président du conseil national de l’alimentation et N.Vidon, Directeur de recherches à l’INSERM.)
Si les sécrétions d’acide chlorhydrique, n’étaient pas différées afin de laisser la digestion des féculents suivre normalement son cours sans être interrompue, l’enzyme ptyaline ou amylase salivaire serait inactivée dans un milieu acide. Ceci arrêterait la digestion des féculents qui rentrerait alors dans un processus de fermentation acide et alcoolique, provoquant des ballonnements, des gaz et des troubles de la digestion. C’est exactement ce qui se produit lorsque l’on mélange des féculents avec un aliment acide (comme les fruits aqueux ou un yaourt par exemple).
Avant d’aller plus loin il est nécessaire de préciser qu’il existe deux sortes de protéines :
- Les protéines grasses comme la viande, le poisson, les œufs qui associe protéines et matière grasse et sont des aliments moyennement acide
ET
- Les protéines maigres comme le fromage blanc ou les yaourts qui peuvent s’avérer être plus acide que les premiers. Il est donc conseillé de ne pas associer les yaourts ou fromage blanc avec du pain, des céréales ou féculents, justement, pour ne pas entraver la digestion de féculents.
En effet, ici ce n’est pas le processus de la digestion qui peut gêner cette association : protéines maigres et féculents (en raison du processus expliqué plus haut), mais tout simplement à cause de l’acidité spécifique de ces aliments qui pourront s’opposer ou entraver la digestion des féculents dans la bouche et dans l’estomac. Il est donc déconseillé d’associer un yaourt ou du fromage blanc lors d’un repas comprenant des féculents ou céréales comme les pâtes, le pain, etc.
L’association protéines/féculents ou céréales et confirmé ou validé par les faits ou par la tradition, l’usage, le bon sens ou l’intuition de nombreux peuples.
Quand on observe la plupart des plats traditionnels de cultures et d’origine ethnique diverses, on peut faire les constatations suivantes ; l’association protéines/céréales est adoptée depuis des siècles. En Chine, c’est le riz avec le soja ; chez les Indiens d’Amérique, c’est le maïs avec les haricots ; et chez les peuples Arabes, le couscous réunit le blé et les pois chiches.
En revanche, les plats « fourre-tout », incluant toutes sortes de céréales, de protéines et de légumes mélangés, et donc trop composites, peuvent s’avérer indigestes.
Défauts du régime dissocié.
Les protéines non accompagnées de féculents ou céréales, au cours du repas, empêchent l’assimilation des acides aminés.
En effet, pour que les protéines, les glucides et les lipides pénètrent au niveau cellulaire, il leur faut la présence d’une hormone, l’insuline, qui permet à ces nutriments de pénétrer au niveau cellulaire. Mais cette dernière n’est sécrétée qu’en présence de glucides ou de féculents. En cas d’absence de sucres lents (farineux ou féculents) au cours d’un repas, la sécrétion d’insuline sera très faible. Par conséquent, la pénétration cellulaire des acides aminés, des sucres et des graisses sera, elle aussi, réduite. En revanche, le pancréas va sécréter en quantité importante du glucagon (une hormone hyperglycémiante) antagoniste à l’insuline (hormone hypoglycémiante).
Au contact du glucagon, le foie va transformer les lipides et les protéines en glucose grâce au processus de néoglucogenèse.
NOTA.
Ceci explique pourquoi la dissociation des protéines et des féculents ou des lipides lors des régimes dits « dissociés » permet de maigrir. Mais cela se fait au détriment de l’assimilation de ces aliments et donc va générer des carences plus ou moins graves à moyen et long terme.
Conséquence du régime dissocié.
Malgré la présence d’aliments protéiques, l’organisme va souffrir d’une carence en protéines par manque d’assimilation en relation avec la dissociation protéines/féculents.
À moyen et long terme, les conséquences pourront être multiples et variées, selon les cas :
fonte musculaire ; ostéoporose ; impuissance ; affaiblissement du système immunitaire ; manque de sécrétion des sucs digestifs ; anémie ; aménorrhée de carence protéique ; dépression ; vieillissement prématuré ; cachexie (maigreur extrême), etc.
Malgré la perte de poids rapide, ce régime n’est pas à conseiller car il perturbe gravement l’organisme et le contraint (selon certaines variantes de ce régime), tous les jours à une nouvelle adaptation sur le plan métabolique, ainsi qu’à un manque d’assimilation génératrice de carence.
De plus, tous les aliments en excès, même sur une seule journée, contraignent l’organisme à éliminer certains déchets en masse et forcent les émonctoires comme les reins ou les intestins.
En outre, l’apport important d’une classe alimentaire comme les fruits aqueux va provoquer une augmentation considérable des acides dans le corps. S’il n’arrive pas à les oxyder totalement, une déminéralisation de l’organisme s’en suivra par spoliation des réserves minérales, pouvant se faire au détriment des cheveux, ongles, os, etc., afin de lui permettre de réguler son Potentiel Hydrogène sanguin ou pH, et de rétablir l’équilibre entre les acides et les bases.
Renseignement à propos de l’auteur.
Renseignement à propos de l’auteur.
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Sommes-nous prisonniers de notre égo ?
"L’ego ne le combattez pas, ne le jugez pas, acceptez-le simplement, alors vous pourrez le transcender" Anita Moorjani.

Sommes-nous prisonniers de notre égo ?
L'ego est un mot en latin qui veut dire "moi". Du point de vue psychologique, c'est la personnalité. Vu sous un autre angle, notre ego, la conscience divisée, distingue la notion de séparation ; l'intérieur et l'extérieur. Voici à ce propos une magnifique histoire vécue et racontée par Echart Toll, intitulée "Les stratagèmes de l'ego." Extrait du livre Audio "Vivre libéré".
L'auteur raconte qu'un vieux monsieur était en train de nourrir des canards avec des miettes de pain, lorsque deux jeunes lui adressent la parole pour le mettre en garde sur les dangers de nourrir ces animaux avec du pain. Cet aliment remplit l'estomac de ces oiseaux, mais sans leur apporter ce dont ils ont vraiment besoin sur le plan nutritionnel.
L'homme âgé reconnut en grommelant qu'il était au courant des méfaits de cette nourriture sur les canards, mais que cela lui faisait plaisir de les nourrir. Il précisa aux enfants :
"D'accord je ne suis pas un idiot, personne ne va me dire quoi faire, je ne suis pas stupide."
Eckhart-Toll commente les propos du vieux monsieur :
"La réaction de l'ego est mécanique, le vieux monsieur a commencé à parler avec colère et à se défendre. Cela n'était pas logique, car on ne peut défendre un comportement dont on vient de reconnaître qu'il est mauvais. Mais l'ego s'en fiche. C'était un mécanisme de défense automatique. Et il a parlé pendant plusieurs minutes, il était de plus en plus en colère, de plus en plus sur la défensive. Qu'est-ce qu'il défendait... ? Une position, une image mentale."
Puis suite à ces propos, les jeunes saluèrent le vieux monsieur et partirent.
Echart Toll propose ensuite de réécrire un autre scénario de cette histoire vécue, où le vieux Monsieur, suite aux remarques des jeunes, aurait reconnu son erreur et accepte de changer de comportement en arrêtant de nourrir les canards. Eckhart Toll explique un tel comportement :
"Ainsi son pouvoir véritable se manifeste, là où l'ego aurait dit - tu es en train d'être anéanti, c'est de la faiblesse, défend toi ! Son pouvoir véritable aurait surgit, s'il avait honnêtement exprimé cela, sans avoir besoin de défendre une image. Aux yeux de l'ego cela ressemble à de la vulnérabilité, mais cela n'en est pas. Voilà la force véritable. Toute la qualité de l'interaction aurait changé. Il aurait pu y avoir une véritable communication entre les humains ; les jeunes et le vieil homme. Il aurait pu même y avoir de l'amour ! Il aurait pu y avoir une merveilleuse rencontre. Mais l'ego ne l'a pas permis. Il avait besoin de se défendre. Les gens s'enfoncent de plus en plus dans ce piège.
Ce n'est qu'un minuscule exemple. Imaginez quelqu'un qui passe toute sa vie ainsi. Et c'est le cas de la plupart des gens ! Peut-être vous reconnaissez vous en partie, parfois plus qu'un peu dans votre vie. Lorsque "la Présence" surgit, et que vous observez l'attitude défensive, vous vous dites - Mon Dieu c'est ça ! - Et alors parfois, par la simple observation, vous dépassez cela, car c'est le Pouvoir qui réside là où vous ne vous défendez plus. Il se produit alors un changement soudain. Et toujours le mental vous dira - Attention, défend toi, protège toi - Donc vous apprenez en observant d'autres humains et en vous observant vous-même, bien entendu."
Si à l'ego dont on vient de voir les mécanismes de fonctionnement et de défensive, on y ajoute l'effet de toute notre éducation et conditionnement, (les croyances, les valeurs, les dogmes, les traditions obsolète et erronées, les expériences de souffrance, etc.), l'on comprend mieux pourquoi l'Homme apparaît rigide depuis des millénaires.
Son attitude envers lui-même et les autres, ne s'est globalement pas améliorée au fil de l'histoire de l'humanité. Mais ce qui apparaît comme un comportement inéluctablement figé, pourrait sous l'influence d'une prise de conscience au contact de son essence, de son Être ou encore de son vrai Moi, libérer l'Homme des chaînes, avec lesquelles il s'est lui-même entravé.
Ces chaînes (croyances, dogmes, valeurs... toutes erronées), ne sont-elles pas le fruit de notre conscience divisée ? L' ego peut se cacher là où l'on ne l'attend pas, en s'exprimant par l'orgueil de manière inattendue.
"L'une la plus répandue, ou l'on s'approuve soi-même de manière outrancière ; l'autre plus subtile où l'on ne peut s'accepter. Celle-ci est probablement la plus raffinée." Henri Frédéric Amiel.
En vérité, plus vous reconnaîtrez votre valeur, plus vous serez humble !
On peut passer des semaines, des années, des millénaires, pour expliquer les mécanismes et les nombreux motifs expliquant, les dissensions entre les gens, entre les peuples. Mais au final, c'est un peu comme les principes très simples qui président à une vraie santé ; nos guerres perpétuelles avec nous-mêmes et nos semblables proviennent essentiellement de notre conscience divisée, basée sur la Peur et non sur l'Amour. Un "problème" n'est que notre interprétation d'une situation. Derrière tout conflit (intérieur ou extérieur), discorde, guerre, se cache la Peur.
Renseignement à propos de l’auteur.
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Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste.
Créateur d’une nouvelle une école de naturopathie et d’hygiénisme sur internet à 100 % en E-learning :
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Tel : 09 50 24 05 34.
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Pilule bleue ou pilule rouge ?
Ce que souhaite traiter cet article, c’est les mécanismes psychologiques et neurologiques ou neurochimiques qui participent inconsciemment à nos choix POUR ou CONTRE.

Pilules bleue ou pilule rouge?
Renseignement à propos de l’auteur.
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Les aliments alcalins, acidifiants et acides
LES ALIMENTS ALCALINISANTS
Après oxydation, ils donnent un résidu alcalin, c’est-à-dire, qu’ils comportent une grande proportion d’éléments alcalinisants (sodium, calcium, magnésium, potassium).

Les aliments alcalins, acidifiants et acides.
Il s’agit des légumes en général et de certains fruits :
— Tous les légumes verts (sauf l’oseille, la rhubarbe et la bette).
— Tous les légumes colorés (carotte, betterave, etc.) sauf la tomate.
— L’amande, le sésame, la noix du Brésil, la châtaigne.
— Les fruits secs (datte, raisin sec, figue sèche), sauf l’abricot.
— Le melon, la pastèque, la banane.
— La pomme de terre.
LES ALIMENTS ACIDIFIANTS
Après oxydation, ils donnent un résidu acide comprenant une grande proportion d’éléments acidifiants (soufre, phosphore et chlore, iode).
Sont concernés :
— La viande, la volaille, la charcuterie, le poisson, les extraits de viande, les œufs, le fromage (les fromages forts sont plus acides que les doux), les produits laitiers riches en petit-lait (yaourt, lait caillé, fromage blanc, kéfir).
— Les corps gras animaux, les huiles durcies ou raffinées, les céréales complètes ou non (blé, avoine, seigle, etc.), le pain, les pâtes, les flocons et aliments à base de céréales, les légumineuses (arachides, soja, haricots blancs, fèves).
— Les sucres raffinés et blancs, les sucreries, les sirops, les boissons industrielles, les limonades, les sodas, les pâtisseries, les bonbons, les confitures, les fruits confits, le café, le thé, le cacao, le vin, le vinaigre et la moutarde.
LES ALIMENTS ACIDES OU SEMI-ACIDES
Ils se reconnaissent aisément à la saveur. Il s’agit des citrons, des pamplemousses, des oranges, des pommes, des cerises, des prunes, des abricots, des groseilles, du cassis, des framboises, des jus de fruits, du jus de citron dans la sauce à salade, des légumes acides (tels que la tomate, la rhubarbe, l’oseille, le cresson, le pourpier, l’aubergine), du miel. Ces derniers ont une action acidifiante ou alcalinisante variable suivant la personne qui les consomme.
En effet, dans le cas des aliments naturellement acides qui n’ont pas fait l’objet de transformation industrielle, l’organisme, après avoir oxydé les acides citriques, maliques, tartriques, ascorbiques, lactiques, quiniques, sous forme d’oxydes de carbone et d’eau, va pouvoir récupérer les minéraux alcalins de ces aliments (calcium, potassium, sodium, etc.), et donc se minéraliser grâce à ces produits.
Mais dans le cas des personnes souffrant d’une faiblesse métabolique et enzymatique, d’où découlera une faible capacité de combustion et d’oxydation des acides, ces derniers seront stockés et contribueront à l’acidification de l’organisme.
Cette difficulté de l’organisme à neutraliser les acides pourra s’exprimer par une frilosité, une nervosité excessive, l’hyperémotivité, une tendance dépressive, la fatigue associée à un manque d’énergie chronique, la faiblesse du système immunitaire, une physionomie longiligne et en général, une grande pâleur due à la contraction des capillaires, (le taux d’hémoglobine étant normal), des maux de tête, des yeux larmoyants et sensibles, une sensibilité au froid, à la chaleur ou à l’effort etc.
Les laitages sont une source de calcium mais constituent, à part le lait frais cru, des aliments acidifiants. Comme le précisent les études de l’École de Harvard, dont parle le journaliste Thierry Souccar ; paradoxalement c’est dans les pays où l’on consomme le plus de laitages que l’on constate les plus forts taux de fractures, comme la Suède par exemple. L’os a besoin de calcium et de vitamine D, mais aussi et surtout d’un équilibre acido-basique apporté par l’alimentation. Il ne s’agit pas ici d’exclure radicalement les produits laitiers mais d’encourager leur consommation modérée.
La majorité des aliments qui constituent les sandwiches et burgers des fast-foods, mis à part la feuille de salade, sont des aliments acidifiants qui ne respectent pas la notion d’équilibre acide-base si importante pour l’organisme. En effet, pour favoriser l’équilibre minéral de l’organisme et l’ossification du jeune enfant, il ne suffit pas de favoriser seulement la consommation d’aliments pourvoyeurs de calcium.
Ceci étant dit, le schéma alimentaire des fast-foods peut être largement reproduit en dehors de ces restaurants. Que cela soit à domicile, entre amis ou n’importe où.
Certaines études montrent une multiplication par trois à cinq des fractures chez les adolescents qui consomment régulièrement des boissons acides (les softs drinks ; cf article de la revue Nutranews).
À propos des sodas que l’on peut trouver dans les menus fast-foods, et selon une étude américaine relatée par la revue « Que choisir santé », il a été établi que les femmes consommant plus d’une canette de soda par jour présentent une moindre solidité des os. L’auteur Katherine L. Tucker, chercheuse à l’Université Tufts de Boston, explique que le rôle néfaste des sodas sur les os avait déjà été suspecté auparavant.
En effet, on avait constaté que les adolescents qui buvaient beaucoup de colas présentaient un risque accru de fracture. Mais cette fragilité était expliquée par le fait que la consommation de ces sodas avait lieu au détriment d’autres boissons riches en calcium et favorisant la solidité des os. Cette interprétation ne vaut plus ici : même à apports en calcium égaux, une consommation élevée de colas a bien été associée à une moindre solidité des os. Les chercheurs soupçonnent ici, l’acide phosphorique, présent dans les colas, de favoriser la fragilité des os. Des études sont en cours pour étayer ce phénomène.
Des expériences in vitro indiquent que l’acidose métabolique provoque une libération de calcium par les os qui, à l’origine est simplement due à une dissolution physico-chimique du minéral. Sur une base plus chronique, l’acidose métabolique altère le fonctionnement des cellules osseuses : elle provoque une augmentation de la résorption osseuse ostéoclastique (décroissance de la densité osseuse) et une diminution de la formation osseuse ostéoablastique. (Idem : décroissance de la densité osseuse)
Les boissons industrielles acides, contribuent dans bien des cas à la déminéralisation de l’organisme. Chez les enfants cela favorise une fragilisation des os. Et à long terme, cela participera au processus menant vers l’ostéoporose.
En faisant preuve d’observation et de vigilance sur tout ce que nous absorbons au quotidien (nourriture solide et liquide), nous pouvons consciemment favoriser l’équilibre acido-basique de notre organisme, ce qui nous évitera de nombreux troubles de santé plus ou moins importants.
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Qu'est-ce que le gluten, quelle est sa fonction?
La maladie du gluten fut décrite pour la première fois en 1883, mais son origine était encore inconnue. Pendant la première guerre mondiale, une équipe de médecins hollandais put observer chez les intolérants au gluten des améliorations, lorsqu’ils étaient privés de certaines céréales.

En 1950, le gluten est officiellement reconnu responsable de la maladie cœliaque qui touche les viscères abdominaux.
On estime aujourd’hui qu’une personne sur 3000 est concernée par cette intolérance. Autrefois l’évolution était fatale dans un cas sur 6. Pour les autres, une certaine amélioration s’installait avec le temps.
Le gluten est un liant protidique composé de gliadine et de glutéine, que l’on trouve dans certaines céréales, comme le blé, l’avoine, le seigle et l’orge.
Selon les brillantes découvertes du professeur Karl L. Reichelt en Norvège, si la digestion de cette protéine se fait incorrectement, des molécules indésirables, telles la gliadinomorphine ou glutenmorphine, seront générées.
Avant d’aller plus loin, il est important ici, de faire quelques précisions à propos du blé d’aujourd’hui.
Selon Julien Venesson : « Le blé que l’on consomme actuellement a subi de nombreuses manipulations génétiques depuis les débuts de l’agriculture il y a 10 à 15 000 ans. Ces manipulations ont été le fruit de sélections et de mutations naturelles pendant des milliers d’années. Mais depuis plusieurs dizaines d’années, l’homme a opéré des modifications dans le génome des blés à l’aide de techniques de génétique qui ont donné naissance à de nouveaux blés.
Pour les toxicologues avec lesquels je me suis entretenu, ces nouveaux blés sont comparables à des OGM et aucune autorité sanitaire ne peut en garantir l’innocuité. Nous sommes en train de vivre une expérience toxicologique grandeur nature, en consommant ces nouvelles céréales, mais l’explosion du nombre d’intolérances et de sensibilités au gluten, montre que cette expérience se déroule très mal. »
Il semble, malgré ce constat objectif et factuel à propos du blé, que différentes personnes en raison de la composition de leur flore intestinale, ne déplorent aucun symptôme, suite à la consommation régulière de blé d’origine biologique, même à moyen et long terme.
Ne jamais oublier que la nature du « terrain » biochimique de chacun d’entre nous, joue un rôle particulièrement important, dans le devenir d’un aliment ou d’une molécule. C’est ainsi qu’un aliment sera toxique pour certains et sans effet délétères pour d’autres. La qualité de la digestion joue entre autres un rôle déterminant.
En fait, ce sont des MIT (Métabolites Intermédiaires Toxiques) qui son produites lors du processus normal de la digestion du gluten. Ensuite ces MIT doivent être métabolisés par l’organisme. Mais si pour « x » raisons, elles sont mal ou pas « transformées ou métabolisées », alors elles s’accumulent dans le sang et peuvent être à l’origine de troubles de santé divers et variés.
Ce peptide ayant une activité « opioïde» au niveau des récepteurs cérébraux, pourra occasionner des troubles du comportement tels que : hypo- et hyperactivité, déficit de la concentration ou de l’attention, dyslexie, difficultés scolaires, manque de confiance en soi, susceptibilité à fleur de peau, dépression, schizophrénie, traits autistiques, autisme, épilepsie.
De plus le gluten mal assimilé va provoquer une atrophie et une destruction de la muqueuse intestinale, conduisant à une mauvaise assimilation des glucides, protides, lipides, vitamines et minéraux.
Différents symptômes liés aux pathologies du côlon pourront être observés : diarrhées chroniques, douleurs abdominales et musculaires, ballonnements intestinaux, anémie.
La croissance est ralentie ou s’arrête, pouvant même stagner au nanisme. On observe un manque chronique d’énergie, une grande nervosité.
Un réglage alimentaire approprié permet cependant de restaurer les fonctions digestives et peut contribuer à des résultats spectaculaires.
Hyperactivité et déficit d’attention de l’enfant.
L’un de mes « client-patients », Geordy, alors âgé de onze ans, était anormalement maigre et souffrait de diarrhée chronique depuis l’âge de un mois, de douleurs aux jambes, de déminéralisation, de troubles digestifs chroniques et d’une grande nervosité. Après l’adoption d’un réglage alimentaire personnalisé incluant la suppression de tous les aliments contenant du gluten, sa situation s’est nettement améliorée, les douleurs ostéo-musculaires on disparu, ainsi que les diarrhées intempestives ; sa nervosité a elle aussi largement diminué, et il a grandi de 5 cm en l’espace de trois mois seulement, ces résultats s’accompagnant d’une prise de poids salutaire.
Il faut environ de dix-huit mois à deux ans pour que la muqueuse intestinale retrouve un aspect normal et un fonctionnement correct. Pendant cette période, il est conseillé d’éviter tout aliment contenant du gluten. La vigilance s’impose : de nombreux produits alimentaires peuvent en effet en contenir, tels les fromages à tartiner, les pâtés, les légumes cuisinés, les pâtes de fruit, la mayonnaise en tube, les sauces et potages tout préparés, les saucisses, le saucisson, etc. Une seule garantie : la mention « sans gluten».
Préférer le riz, le soja, le maïs (polenta), le tapioca, les pommes de terre les châtaignes, le quinoa, le sarrasin, le millet. Éviter l’achat d’aliments déjà cuisinés. Parallèlement, on pourra désintoxiquer l’organisme des métaux lourds grâce à des biothérapies variées : la phytothérapie, l’aromathérapie, l’enzymothérapie, la diète rythmée, ainsi que l’usage de compléments alimentaires riches en vitamines, minéraux, acides aminés, enzymes, etc., : pro- et prébiotiques, acides gras polyinsaturés, polyphénols (pigments des fruits et légumes) qui contribuent à diminuer l’inflammation et à renforcer la muqueuse.
La qualité des blés et le mode de fabrication du pain peuvent, dans certains cas, répondre aux besoins des intolérants au gluten. C’est ce que suggère un artisan boulanger, Nicolas Supiot, qui n’utilise que des variétés de blé d’avant la période industrielle (1850).
C’est en effet à partir de cette période que débute l’hybridation des semences, en vue de leur adaptation aux procédés industriels, au détriment de leurs qualités nutritives, gustatives, agronomiques et de leur vigueur végétative. Supiot moud lui-même son blé à la meule de pierre. Certains intolérants au gluten consomment ses produits, sans manifester de symptômes.
Les causes pouvant contribuer à expliquer cette intolérance au gluten :
• La majorité des produits issus du blé actuel, proviennent de céréales raffinées qui ne contiennent pratiquement que de l’amidon et du gluten complètement oxydés et donc plus difficiles à assimiler.
Tous les autres nutriments nécessaires à leur assimilation par notre organisme (vitamines, minéraux, acides gras poly-insaturés, acides aminés de haute valeur biologique, enzymes ou pro-enzymes) ont été supprimés par le raffinage.
• De plus, les procédés industriels visant à obtenir un pain très blanc et très levé « maltraitent» le gluten. La panification idéale doit se faire avec un levain naturel et spontané qui développe sur le moment une acidité importante, (pH de 4 à 4,7), stimulant ainsi l’enzyme phytase et accélèrant la dégradation de l’acide phytique. C’est de cette façon que le caractère déminéralisant des farines de blé sera neutralisé.
• Dans le mode de production des blés, l’enrichissement de la terre avec certains engrais chimiques, ainsi que l’utilisation de produits phytosanitaires comme les pesticides et herbicides, influent sur la qualité des protéines des céréales ainsi produites.
• La sélection de variétés de blé de plus en plus concentrées en protéines (gluten), pour des raisons industrielles, a aussi un rôle néfaste.
• Actuellement, de très nombreux additifs sont autorisés pour la fabrication des pains. Même les enzymes obtenues par génie génétique sont autorisées.
• Certains poisons ou toxiques comme les métaux lourds apportés par la pollution alimentaire ou autre (cadmium, plomb, mercure etc.), peuvent prendre la place de certaines co-enzymes (vitamines, oligo-éléments, minéraux) et bloquer certaines enzymes. Ainsi la protéine de blé mal ou non digéré, deviendra toxique pour l’organisme.
Par exemple la coumarine, substance odoriférante d’origine végétale, peut prendre la place de la vitamine K, dans certaines enzymes, et ainsi en bloquer le fonctionnement. C’est de cette manière que l’on se débarrasse des rats et des souris, car certaines enzymes impliquées dans l'hémostase voient leurs fonctions bloquées et donc le sang, rendu incoagulable, entraîne la mort par hémorragie interne.
Il n’est pas bon de donner à des enfants de moins de 7 mois des aliments contenant du gluten, alors que leur système digestif, encore immature, ne dispose d'aucun enzyme permettant de le dégrader.
Quelques sociétés diffusent par correspondance des produits garantis sans gluten, fabriqués selon la norme ISO 9002. Si l’intolérance au gluten a été authentifiée et déclarée à la Sécurité Sociale, l’achat de ces produits spécifiques (comptez 125 euros par mois) n’est aujourd’hui que partiellement remboursé.
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Eric Darche / Naturopathe-hygiéniste.
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vérités et mensonges sur le cholestérol
A quoi sert le cholestérol ?
Le cholestérol est un des constituants essentiels de la membrane cellulaire ; il est donc indispensable à la vie. Une partie du cholestérol est à l’origine des hormones comme le cortisol, l’aldostérone, l’oestradiol, la testostérone, mais aussi de la vitamine D.

A quoi sert le cholestérol ?
Le cholestérol est un des constituants essentiels de la membrane cellulaire ; il est donc indispensable à la vie. Une partie du cholestérol est à l’origine des hormones comme le cortisol, l’aldostérone, l’oestradiol, la testostérone, mais aussi de la vitamine D. Cependant assez paradoxalement il a auprès du grand public une très mauvaise image en raison d’un discours parcellaire qui en a fait l’ennemi public numéro un de notre santé. C’est son excès, associé à une série de plusieurs phénomènes, qui peut en faire une molécule nuisible pour l’organisme.
Le cholestérol est fabriqué par l’organisme à hauteur de 70 %. C’est principalement le foie qui le synthétise dans l’organisme. L’alimentation quant à elle en apporte environ 30 %.
Le cholestérol n’est pas soluble dans le sang et ne peut donc pas vraiment y circuler. C’est pour cette raison qu’il s’associe à des lipoprotéines fabriqués aussi par le foie que l’on distingue en fonction de leur densité. LDL (Liporotéines de basse densité) et HDL (Lipoprotéine de haute densité) sont parmi les lipoprotéines les plus connues.
Les LDL jouent un rôle fondamental dans le transport du cholestérol. Elles le transportent du foie vers les tissus périphériques tels que les vaisseaux sanguins où son accumulation importante contribue à la formation de la plaque d’athérome.
Les HDL transportent le cholestérol dans la direction opposée, des tissus périphériques vers le foie où son excès sera éliminé par la bile.
Quand toutes les fonctions s’accomplissent normalement, le cholestérol en excès est dissous par le sérum sanguin, doué de propriétés cholestérolitiques ; il est ensuite éliminé. La perturbation de certaines fonctions endocriniennes (hépato-pancréatiques, notamment) aboutit à la précipitation du cholestérol, d’où l’athérosclérose.
Favoriser les fonctions hépatiques contribue à réguler la normalisation du taux de cholestérol. On peut proposer à cet effet la consommation d’olives noires, d’huile d’olive vierge et bio, le citron, la chicorée, le pissenlit, le poireau, le radis, le raisin, la pêche, les cerises, la fraise etc. Le jus de radis noir ou rose avant chaque repas et favorable. On peut aussi consommer à jeun une cuillère à soupe d’huile d’olive avec le jus d’un demi-citron.
Il n'y a en fait qu’un cholestérol qui est lié à des "transporteurs" différents selon les cas : HDL, LDL, etc.
Bien que l’on ai vu que la régulation du cholestérol se fait entre autres par le foie, les erreurs alimentaires peuvent contribuer à augmenter la cholestérolémie :
-Consommation trop importante d’aliments riches en cholestérol.
-Consommation déséquilibrée trop riche en acides gras saturés : viandes grasses, charcuterie, lard, beurre suif, saindoux etc.
-Consommation d’aliments riches en cholestérol, en graisse, en calories le soir plutôt que le matin. En effet, le début de la journée est une période plus favorable pour la régulation du cholestérol en fonction de différents métabolismes de l’organisme (chrononutrition).
Les graisses polyinsaturées comme le tournesol, la noix, le colza contribuent à réduire le taux de cholestérol sanguin. L’huile d’olive mono insaturée a également un effet positif sur la diminution du cholestérol sanguin. Ces huiles agissent essentiellement sur la baisse du LDL ou le soi-disant "mauvais cholestérol''. Le HDL n’est pratiquement pas modifié.
La levure de riz rouge très controversée, utilisée avec parcimonie sur de courtes périodes et associée avec d’autres molécules comme le coenzyme Q10 peut contribuer à réguler le cholestérol vraiment en excès.
La consommation de shitaké, d’avoine, d’orge ou de poudre d’herbe d’orge, riches en bêta glucane de la famille des polysaccharides, contribuent à réguler le cholestérol. L’action des β-glucanes sur le métabolisme lipidique est principalement liée à leurs propriétés viscosifiantes ainsi qu’à leur capacité à séquestrer le cholestérol et les sels biliaires pour ensuite les rejeter par l’organisme.
L’intoxication de l’organisme par la pollution, l’alimentation de piètre qualité par l’apport de différentes molécules (xeno oestrogène etc.), le manque de molécules protectrices vitamines, oligo-éléments, contribuent à oxyder le cholestérol, mais aussi à endommager l’intima ou la paroi des artères qui retiendra plus facilement le cholestérol. Une association entre processus inflammatoire, oxydation des LDL et athérosclérose a été suggérée par différents travaux scientifiques.
La régulation du cholestérol ne se fait pas vraiment en faisant la chasse aux produits contenant du cholestérol. Mais plutôt en choisissant de bonnes graisses et huiles végétales de première pression à froid vierge et bio. Il est important aussi d’assurer une bonne fonction du foie par une alimentation équilibrée et saine en évitant les produits raffinés et riches en additifs de synthèse et toxiques divers.
On peut observer des personnes consommant peu d’aliments riches en cholestérol mais dont les bilans sanguins trahissent un taux très élevé de cholestérol et un vieillissement vasculaire accéléré. Et en parallèle certaines personnes consomment une bonne ration d’aliments riches en cholestérol et n’ont aucun problème cardio-vasculaire avec des bilans sanguins très corrects.
L’excès d’aliments riches en calories comme les biscuits, les gâteaux, les fruits secs, le pain etc., malgré l’absence de consommation de cholestérol sous forme d’œufs, de produits laitiers, viandes, poissons, etc., peut favoriser chez différentes personnes un taux de cholestérol largement au-dessus des taux raisonnables. Cela s’explique entre autres par la transformation de l’excès de calories en cholestérol et en acides gras saturés pathogènes, surtout lorsqu’il y a un manque d’activité physique associée. Plusieurs expériences ont démontré que la réduction calorique non seulement contribue à réduire le poids mais aussi à réguler le cholestérol en excès et la symptomatologie cardio-vasculaire.
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Est-ce que la violence verbale fait partie de la naturopathie et de l'hygiénisme ou encore d'une attitude dite de "santé" ?
Aujourd’hui c’est très à la mode de parler de régime alimentaire et de nutrition pour favoriser la santé. Par contre lorsqu’il s’agit de la qualité « de nos pensées, de nos émotions ou encore de nos paroles ou écrits » sur les réseaux sociaux entre autres, les notions de respect, d’harmonie, de paix, d’équilibre, etc. semblent n’avoir jamais existé ou apprises… !

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comment le cerveau d'un ado réagit-il aux jeux vidéos de lutte, tir et combat ?
Lorsqu'un adolescent joue à un jeu vidéo de combat, de tir ou de lutte, on constate une activation de la zone cognitive dédiée à la réflexion qui gère la motricité et la stratégie et surtout une inhibition des zones liées aux émotions comme le cortex cingulaire antérieur (structure qui permet d’arbitrer entre réflexion et émotion) ou le complexe amygdalien, qui déclenche la sensation de peur.
Le cerveau du joueur est entièrement concentré vers le résultat du jeu, tandis qu’il s’efforce de tuer le plus d’ennemis possible. La zone du cerveau correspondant à la compassion et la peur se trouve alors inhibée. On peut donc penser que le cerveau apprend à devenir imperméable aux sentiments.

Lorsqu'un adolescent joue à un jeu vidéo de combat, de tir ou de lutte, on constate une activation de la zone cognitive dédiée à la réflexion qui gère la motricité et la stratégie et surtout une inhibition des zones liées aux émotions comme le cortex cingulaire antérieur (structure qui permet d’arbitrer entre réflexion et émotion) ou le complexe amygdalien, qui déclenche la sensation de peur.
Le cerveau du joueur est entièrement concentré vers le résultat du jeu, tandis qu’il s’efforce de tuer le plus d’ennemis possible. La zone du cerveau correspondant à la compassion et la peur se trouve alors inhibée. On peut donc penser que le cerveau apprend à devenir imperméable aux sentiments.
Les jeunes qui s’adonnent aux jeux vidéo de tir subjectif ne deviendront pas tous violents, mais chez les adolescents ayant déjà des tendances agressives, les combats virtuels risquent d’exacerber ce type de comportement.
D’autres travaux, relatés par la revue Science et Avenir, concluent de manière identique. "Oui, toutes les données scientifiques convergent !", affirme Laurent Bègue, professeur de psychologie sociale à l’université de Grenoble-II, auteur de plusieurs travaux de synthèse sur la violence,
John Murray, de l’université du Kansas (Etats-Unis), a observé en IRM que des images violentes provoquent chez les jeunes (de 9 à 13 ans) l’activation d’un réseau cérébral impliqué dans le réflexe de peur, ainsi que du cortex moteur, préparant à la riposte.
Selon le chercheur de l’université du Michigan (Etats-Unis), les jeux vidéo violents entraînent aussi, chez des sujets de 18 à 26 ans, une dichotomie (division) entre émotion et réflexion qui désensibilise le joueur.
Même réponse du Bruce Bartholow, de l’université de Missouri-Colombia, qui a analysé l’électroencéphalogramme de différents joueurs. Les émissions d’ondes cérébralles P300, qui accompagnent normalement les réactions d’aversion des individus face aux scènes agressives, tendent à diminuer chez les amateurs de jeux violents.
Enfin, Christopher Kelly, de l’Universtité de Columbie, à New-York, démontre que l’exposition répétée à la violence virtuelle diminue le contrôle cérébral des comportements agressifs.
L’argument souvent mis en avant pour défendre et promouvoir les films ou jeux violents dont l’intérêt serait de purger les pulsions agressives semble avoir "vécu". Espérons-le en tout cas ! Car en réalité, ils provoquent exactement l’effet inverse.
Dans le même article de la revue Science et Avenir, Laurent Bègue poursuit : "Les fabricants de jeux vidéo, eux, minimisent ces données. Un peu comme l’industrie du tabac par le passé. Ils stigmatisent certains profils à risque pour faire diversion. Alors que tout le monde est concerné.
Dans le jeu "Grand Theft Auto IV", vous pouvez fréquenter une prostituée, puis l’abattre et récupérer votre argent... La société doit se demander si elle est d’accord pour que ses citoyens passent leur temps libre à mimer de telles actions, criminelles, alors que les contenus pourraient privilégier des comportements altruistes, par exemple."
Selon le Professeur José Sanmartin, les images qui nous entourent peuvent avoir une influence sur notre cerveau en le configurant d’une certaine manière. Lorsque nous regardons des images violentes, certains circuits neuronaux de notre cerveau priment sur d’autres, ce qui explique que nous puissions être influencés par cette violence. C’est le contexte social et environnemental de la personne qui détermine l’impact de ces images sur son cerveau.
Il en va de même lorsqu’une personne prend l’habitude d’exprimer son agressivité en frappant dans un oreiller par exemple, soi-disant pour évacuer sa colère. Si elle le fait régulièrement et y prend du plaisir, alors en réalité elle ne fera qu’aggraver son état.
Au vu de tous ces travaux de recherche, éminemment sérieux, ignorer le lien qui existe entre la violence virtuelle (films vidéo, etc.) et la violence réelle sous prétexte de défoulement, de divertissement, de jeux, semble être une attitude risquée !
C’est sans doute à ce niveau, EN MÊME TEMPS QU’A CELUI DE L’ALIMENTATION DÉSÉQUILIBRÉE ET DÉNATURÉE, qu’il est possible de trouver un début d’explication à la violence actuelle, toujours plus présente et spectaculaire dans nos sociétés en général et chez les jeunes en particulier.
Lorsqu’ils sont accompagnés par une certaine philosophie, une éthique et le respect de l’autre, les sports de combats comme le karaté peuvent cependant canaliser l’agressivité, car ils permettent de renforcer la confiance en soi et de se développer sur le plan physique.
Le cerveau d’un adolescent ne réagit pas comme celui d’un adulte face au risque.
James Bjork a fait jouer 20 adolescents (12-17 ans) et 20 adultes (23-33 ans) à un jeu d’argent comportant des possibilités de gains et des risques de pertes. En cas de risque modéré, les adultes activent une zone du cortex frontal importante durant leurs prises de décisions, ce qui leur permet d’évaluer les possibilités de gain et les risques encourus. L’adolescent, lui, n’active rien du tout. Le risque potentiel doit être élevé, comme celui de tout perdre, pour que son cerveau commence enfin à activer cette zone.
"L’adolescence est la période de maturation du circuit cérébral de la motivation et de la récompense, ce qui se traduit par la recherche de sensations fortes et de prises de risques", explique le Dr Michel Reynaud.
Dans cette recherche d’expériences fortes, les drogues et l’alcool sont souvent au rendez-vous, et elles peuvent altérer gravement les fonctions du cerveau et favoriser les comportements violents.
Il est souhaitable de considérer cet article non pas comme une mise à l’index des jeux-vidéos en général, mais plutôt comme l’opportunité de prendre conscience de la nécessité d’apporter de l’attention, sur la qualité des vidéos ou jeux-vidéos que l’on peut être amené à regarder.
En effet la qualité de notre nourriture spirituelle (lecture, vidéos, fims, etc.) est aussi importante pour notre santé et notre équilibre que la qualité de notre nourriture physique.
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La télévision a-t-elle un pouvoir de fascination ?
Plusieurs émissions télévisées ont alerté les adultes sur certains jeux et comportements particulièrement dangereux, pratiqués par les plus jeunes (le petit pont massacreur, le jeu de la tomate, le jeu du foulard etc.). Certains enfants ou adolescents n’hésitent pas à filmer un des leurs, en train de se faire tabasser, sous les éclats de rire de leurs camarades, et à diffuser ces images violentes et humiliantes sur internet. Les victimes de ces pratiques sont ensuite dans bien des cas dénigrées et ignorées par leurs pairs, en raison de leur soi-disant faiblesse et leur manque de caractère. Par contre les personnes à l’origine de ces acharnements et dénigrements sont valorisées auprès de leurs camarades.

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Jus de légumes lacto fermentés et déchaussement dentaire.
Suite à mon post « La naturopathie est inefficace » à propos de la qualité de formation des écoles de naturopathie , je souhaitais vous faire part d’une expérience que j’ai vécu aujourd’hui lors d’une consultation et qui montre que certaines fois « le diable se cache dans les détails », et que si on n’est pas en mesure de déceler ce fameux détail, on peut contribuer à pérenniser une situation dont l’issue peut être très grave.

Je ne dis pas que l’excès d’acide faible est l’unique cause des déchaussements dentaires, mais que cette cause est souvent ignorée.
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Les différentes étapes du processus de cancérisation et l’alimentation vivante.
Aujourd'hui, grâce à de nombreuses recherches et études scientifiques, on sait que différentes étapes sont nécessaires dans le développement d'un cancer : l'initiation, la promotion et la progression.
Dans un premier temps, il se produit une lésion majeure au niveau de l'ADN d'une cIl en résulte une transformation de celle-ci. Cette phase est appelée l'initiation..

Dans un second temps, la cellule transformée se développe et prolifère en formant un groupe cellulaire identique. Cette phase est appelée la promotion. Elle se propage via l'inflammation, sans laquelle les cellules cancéreuses ne peuvent ni croître, ni envahir de nouveaux tissus.
Enfin, dans un troisième temps, la cellule acquiert les caractéristiques cancéreuses : elle se multiplie de façon anarchique, en perdant en partie son caractère différencié, son identité liée au tissu auquel elle appartient. Les vaisseaux sanguins se multiplient (angiogenèse) alors afin d'assurer l'approvisionnement indispensable à son développement. Cette phase se nomme la progression.
L'évolution se fait en premier localement, puis peut s'étendre via le sang et la lymphe en différentes parties du corps où se forment les métastases. Ces trois phases, initiation, promotion et progression, peuvent être freinées voire arrêtées dans certains cas, lorsque le système immunitaire réagit correctement, et qu'en parallèle le processus inflammatoire et le processus d'angiogenèse sont interrompus grâce à une alimentation anti-angiogénique ou alimentation vivante. (Les aliments végétaux colorés sont riches en polyphénols et pigments ayant montré leur capacité à réduire la formation anarchique de vaisseaux sanguins qui soutiennent les cellules cancéreuses).
Comme on vient de le voir, l'inflammation débridée est une étape importante qui permet au cancer de « gagner du terrain », de se propager, un peu comme le ferait un pays en guerre pour conquérir des nouveaux territoires. L'inflammation peut avoir une origine biochimique ou encore mécanique.
L'expérience nous montre que des cancers cutanés naissent d'une irritation chronique répétée.
Comme par exemple les cancers qui apparaissent au point de frottement des divers appareils dont on équipe les animaux de trait, ou encore au cuir chevelu des peuples qui se rasent le crâne avec des outils mal affûtés. Mais aussi à l'abdomen et aux cuisses des peuples où l'on porte sous ses vêtements pour se réchauffer, un appareil contenant de la braise chaude..On constate aussi des cancers de la bouche chez les peuples qui mâchent du bétel, des cancers de l'œsophage chez des individus absorbant des boissons brûlantes, des cancers des poumons exposés aux fumées du tabac et des produits chimiques qu’il contient.
Tout cela suggère l’idée que l’irritation chronique d’un tissu organique, qu'elle soit d'origine biochimique ou mécanique, est potentiellement susceptible d'entraîner la cancérisation des tissus concernés.
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Les enzymes et leurs intérêts pour la santé!

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MISE EN GARDE À PROPOS DE L'IDÉOLOGIE GALVAUDE DE : " L’ALIMENTATION VIVANTE. "
L'alimentation Vivante est-elle vraiment la « panacée universelle » ?
Ce titre apparaîtra peut-être surprenant pour une personne ayant écrit un livre intitulé « L’hygiénisme et l’alimentation vivante » ?

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L'HOMEOSTASIE
Pour améliorer la santé, l’organisme dispose de l’homéostasie, qui est la capacité de l’organisme à maintenir des constantes biologiques afin d’assurer l’intégrité et la pérennité des fonctions du corps. C’est grâce à l’homéostasie que celui-ci va réguler de manière automatique sa température corporelle, la glycémie, la pression sanguine ou le rythme cardiaque.

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