Il ne faut surtout pas lire et comprendre cette citation avec un sentiment de culpabilité ou d'obligation de quoi que ce soit. Mais plutôt comme un rappel qu’après avoir pris conscience de l'intérêt d'adhérer à certaines choses, il est important d'agir concrètement quotidiennement, pour éviter d'avoir plus tard des regrets ou des remords mais au contraire la joie et la "fierté" du travail et des progrès accomplit.
Fin du Nota.
La sérotonine contribue à la stabilité émotionnelle. L'acide Gaba favorise la relaxation et le calme intérieur. L'acétylcholine favorise la mémoire et la concentration.
La dopamine (rôle moteur ou d'activité) joue un rôle fondamental dans le contrôle des fonctions motrices. C'est l'hormone du plaisir et fait partie de ce que l'on appelle " le circuit de la récompense ". Lorsqu’elle est utilisée en tant que médicament, elle se diffuse non plus seulement dans le cerveau, mais dans tout l’organisme. Elle agit sur le cœur pour maintenir ou pour booster le débit cardiaque
la paroi du tube digestif abrite environ 70 % des cellules immunitaires de l’organisme, ainsi que 100 millions de neurones répartis sur toute sa longueur. Ceci explique entre autres, comment les émotions peuvent altérer les fonctions digestives ainsi que la performance du système immunitaire.
Fin du Nota.
(Ce Nota particulièrement important est à lire avec beaucoup d'attention)
L’hygiénisme n’a pas « d’opinion engagée ou orientée » pour favoriser ou prôner telle ou telle idée, faisant plaisir à untel ou unetelle, mais au contraire propose des approches pragmatiques ou factuelles pour favoriser la santé de la manière la plus véritable et authentique possible.
L’hygiénisme ne s’arrête pas aux effets de la mode, aux effets « tendances » ou encore à des arguments comme la « tradition ».
Il n’y a aucun domaine - en apparence éloigné des facteurs qui conditionnent la vraie santé - qui ne peut être pris en compte et étudié dans une démarche Hygiéniste. C’est dans cet état d’esprit que l’on peut s’intéresser à l’art sous toutes ses formes, car ces dernières ont des conséquences sur notre harmonie intérieure et notre état de santé.
Comme notre éducation ne nous a pas donné de critères pour « apprécier » l’art tel que la peinture ou la musique, certaines personnes se chargent de nous dire ce qui est « bien » ou pas en cette matière.
Voilà ce que disait le peintre Picasso en fin de vie sur lui-même :
« Du moment que l’art n’est plus l’aliment qui nourrit les meilleurs, l’artiste peut exercer son talent en toutes les tentatives de nouvelles formules, en tous les expédients du charlatanisme intellectuel. Dans l’art, le peuple ne cherche plus consolation et exaltation, mais les raffinés, les riches, les oisifs, les distillateurs de quintessence cherchent le nouveau, l’étrange, l’original, l’extraordinaire, le scandaleux. Et moi-même, depuis le cubisme et au-delà, j’ai contenté ces maîtres et ces critiques avec toutes les bizarreries changeantes qui me sont passées en tête et moins ils les comprenaient, plus ils les admiraient.
À force de m’amuser à tous ces jeux et à toutes ces fariboles, à tous ces casse-têtes, rébus et arabesques, je suis devenu célèbre, et très rapidement. Et la célébrité pour un peintre signifie ventes, gains, fortune, richesse.
Et aujourd’hui comme vous savez je suis célèbre et je suis riche. Mais quand je suis seul avec moi-même, je n’ai pas le courage de me considérer comme un artiste dans le sens grand et antique du mot. Ce furent de grands peintres que Giotto, Le Titien, Rembrandt, Goya. Je suis seulement un « amuseur public » qui a compris son temps et a épuisé le mieux qu’il a pu l’imbécillité, la vanité, la cupidité de ses contemporains. C’est une amère confession que la mienne, plus douloureuse qu’elle ne peut sembler, mais elle a le mérite d’être sincère. »
On ne sait pas vraiment si ces propos ont été prononcé ou pas par Piccasso, mais il n’en reste pas moins vrai que les sirènes de la réussite apparente et de la célébrité peuvent faire tourner la tête à bien des gens qui misent plutôt sur les « apparences » que sur les qualités et vertus que l’on aura acquises avec le respect, l’intégrité et l’authenticité.
En ce qui concerne les goûts et les couleurs, il est bien dit qu’ils ne se discutent pas... Ainsi certaines musiques complètement disharmonieuses et discordantes nous sont proposées soi-disant au nom de la liberté d’expression. Mais lorsque l’on s’intéresse à la protéodie, on s’aperçoit que nos cellules ont besoin d’une certaine cohérence et harmonie pour fonctionner de manière optimale.
À ce propos on peut s’intéresser à la musique classique. Voici quelques liens pour ceux qui souhaitent découvrir la beauté et l’harmonie de la musique classique ou, pour les mélomanes, redécouvrir cette splendide musique.
1) R. Wagner : Lohengrin Vorspiel/ Prelude 1. Akt
2) Le danube bleu par André Rieu
3) Ludwig van Beethoven - Symphony No. 9 in D Minor "Choral" Op.125, Herbert von Karajan, 1963. Par la Philharmonie de Berlin.
4) Mozart - Requiem By James Gaffigan. (Full HD) (Full Concert)
5) Gabriel Faure's Requiem Op. 48 Complete
Selon Alain Boudet, docteur en Science Physique, la structure de l’ADN et des gènes sous-tend une harmonie que certains artistes et compositeurs ont transcrite en musique. Au-delà de ces visions d’artiste, la physique quantique montre, grâce à Joël Sternheimer, qu’à chaque acide aminé composant une protéine est associée une onde d’échelle, qui peut être transcrite en note de musique. Via la musique des protéines ou protéodies, il est possible d’entrer en dialogue intime avec l’organisme, ce qui ouvre des perspectives passionnantes et nouvelles en agriculture et en médecine.
Fin du Nota.
Une personne qui bénéficie d’une prise en charge totale dans un centre de santé (clinique naturopathique ou hygiéniste comme en Allemagne ou aux Etats-Unis) en termes de protocoles de santé, ne peut pas se comparer à une personne qui va demander de l’aide sous forme de conseils à un naturopathe ou à un hygiéniste dans le cadre d’une consultation.
En effet, le simple fait d’être dans un contexte reposant, calme, où la personne est complètement déconnectée de ses soucis et obligations quotidiens, constitue un facteur important favorisant le retour à la santé. Donc dans ce contexte il est plus facile dans certains cas, de n’avoir recours à aucune aide comme des compléments alimentaires entre autres.
Par contre, la même personne souffrant des mêmes troubles de la santé, mais qui doit tous les jours se confronter à des obligations diverses et variées (trajet pour aller au travail, mésentente avec le conjoint ou les enfants ou l’employeur, rythme de la journée effréné, difficulté à faire toutes les réformes alimentaires souhaitées en raison de résistances familiales ou sociales), ne peut être comparée à un individu qui se trouve dans une situation « idyllique » comme proposé dans l’exemple ci-dessus.
On peut préciser aussi que le fait d’avoir contribué à la guérison d’une personne par un mode alimentaire spécifique (consommation exclusive de jus de fruits ou de légumes, ou consommation d’un seul type d’aliment comme les céréales ou les fruits, ou une autre classe d’aliment spécifique, etc.) ne peut en aucun cas valider pour le plus grand nombre, ce genre d’approche alimentaire au quotidien et sur de longues périodes.
En effet, la simplicité, la frugalité et la sobriété alimentaire peuvent par la simplicité des digestions qu’elles génèrent, favoriser les mécanismes homéostasiques et « d’auto-réparation » de l’organisme. En effet plus une digestion est simplifiée et n’engendre pas d’intoxication de l’organisme et plus l’énergie vitale du corps peut être monopolisée sur des fonctions comme le système immunitaire par exemple.
Cependant, poursuivre cette approche sur une très longue période, pourra faire apparaitre à la longue des "effets secondaires" liés à des carences nutritionnelles ou encore à des problèmes d'assimilation sur le plan cellulaire.
La prise régulière d’un complément alimentaire comme une poudre riche en divers nutriments d’origine naturelle composée d’herbe de blé ou d’orge, associé à des jus de légumes fraîchement extraits d’origine biologique par exemple, peuvent contribuer à favoriser nettement le retour à la santé dans différents cas, expériences à l’appui... !
S’en abstenir pour se conformer ou adhérer à un « principe », au risque d’enliser une personne dans son état, apparaît tout à fait discutable... !
Il est recommandé de ne pas tomber dans une attitude extrême qui consisterait à proposer uniquement des compléments alimentaires sans avoir étudié par une anamnèse poussée le « terrain » de la personne et les corrections à y apporter. Il est en effet nécessaire d’encourager le respect de tous les facteurs de santé grâce à des exercices et techniques diverses. Une attention particulière sera apportée aux habitudes alimentaires de la personne à conseiller. Dans tous les cas, ne pas oublier de corriger la cause, de la cause, de la cause de tous les troubles de santé.
À y regarder de près, l’extrémisme dans les paroles et les attitudes quel que soit le sujet, cache en réalité, souvent un manque de véritables connaissances et expérience, ou encore des peurs plus ou moins importantes liées à des croyances ou des dogmes.
D’autre part, est-ce un crime ou une insulte que de souhaiter optimiser - quitte à suggérer des apports de connaissances grâce aux découvertes récentes - le savoir fabuleux que nous ont apporté les anciens hygiénistes comme Shelton, Carton ou Mosséri par exemple ?
Rappel. - Herbert Macgolfin Shelton (6 octobre 1895 – 1er janvier 1985) est un éducateur de santé aux États-Unis, végétarien et défenseur des régimes de nourriture basique. Il est désigné par le Parti des végétariens américain pour concourir à la présidentielle des États-Unis en 1956. Considéré comme le père des associations alimentaires, il est le fondateur de l’hygiénisme (à ne pas confondre avec l’hygiénisme en architecture), une médecine non conventionnelle qui prône l’autoguérison, le crudivorisme, le jeûne et la naturopathie. Après sa mort, ses successeurs perpétuent son œuvre qui continue à être propagée à travers le monde. Certains de ses livres, tels que Le Jeûne et Les Combinaisons alimentaires, sont devenus des classiques en naturopathie (Wikipédia).
- Paul Carton, né le 12 mars 1875 à Meaux (Seine-et-Marne) et mort le 20 octobre 1947 à Limeil-Brévannes, est un médecin français du début du XXe siècle. Ancien interne des hôpitaux de Paris (AP-HP), médecin-assistant de l’hospice de Limeil-Brévannes, il est l’initiateur d’une médecine non conventionnelle revendiquée comme étant fondée sur les principes du père de la médecine, le médecin-philosophe de la Grèce antique Hippocrate (Wikipédia).
- Albert Mosséri, né en 1925, et mort le 10 février 2012, était un médecin français adepte de l’hygiénisme (Shelton). Il conseille une alimentation à 80 % crue et une pratique du jeûne encadrée. Il a écrit de nombreux ouvrages à ce sujet (Wikipédia).
Le naturopathe Robert Masson a mis l’accent sur les avantages et les inconvénients de l’alimentation dissociée telle que le propose Shelton qui favorise les processus de digestion, ainsi que les avantages et inconvénients qu’apporte l’alimentation selon Carton, où l’on associe de nombreux aliments ensemble ce qui favorise les processus d’assimilation.
En fait, il semble grâce à l’expérience que l’optimisation des processus de la digestion et de l’assimilation s’obtienne par un mariage de ces deux approches où on module ces deux visions différentes sans en privilégier une. La voie du juste milieu et de l’équilibre donne souvent de bons résultats !
C’est ainsi que l’approche de Shelton et de Carton gagne à bénéficier de certaines améliorations dans ce qu’elles peuvent avoir d’excessif, lorsque leurs théories bien que fondées au départ peuvent s’avérer préjudiciables pour la santé car poussées à l’extrême sans nuance.
La véritable science est celle qui ne craint pas de se confronter à la réalité.
Concrètement lorsque l’on conjugue les concepts et les valeurs de l’hygiénisme authentique dépoussiéré de certains dogmes déconnectés de la réalité et de l’expérience, le tout associé à des connaissances qu’apporte la science d’aujourd’hui, les résultats que l’on obtient en termes de santé sont dans bien des cas excellents et durables.
Ne devrait-on pas juger un arbre d’après ses fruits et non d’après des discours purement théoriques ?
L’hygiénisme n’est pas une abstraction intellectuelle mais au contraire par ses connaissances véritables et authentiques, épouse complètement les particularités et la complexité de l’être humain d’hier et d’aujourd’hui.
Un naturopathe ou un hygiéniste ou un conseiller de santé, idéalement, ne devrait ignorer aucun trouble de santé de la personne qu’il conseille, même bénins apparemment - par la recherche de la cause de la cause - et vérifier au long court que les solutions qu’il a proposé n’ont pas été vaines, nocives ou fictives car n’ayant pas engendré d’effets secondaires dus à des « protocoles » à l’emporte-pièce ou erronés comme la purge l'huile de ricin par exemple...!
De nombreuses personnes ayant corrigé véritablement toutes les causes de leurs troubles de santé en parallèle de l’adoption de tous les facteurs de santé et particulièrement la nutrition, et qui pratiquent quotidiennement l’usage modéré et intelligent de jus de légumes (« verts » et autres + un peu de fruits aqueux éventuellement, en tenant compte du terrain) associé éventuellement d’un complément alimentaire riche en nutriments comme les herbes de blé ou d’orge, ont vu leur santé s’améliorer nettement et de plus n’ont eu à déplorer aucun souci de santé même bénin par la suite, et cela dans bien des cas, après de longues années de pratique.
Critiquer l’usage des jus de légumes (voire additionnés d’un peu de fruits) dans ce contexte précis, paraît être au minimum un procès d’intention ou un manque de souplesse intellectuelle !
Certains critiquent les jus de plantes, de fruits et de légumes sous le prétexte que cette forme étant « non-naturelle », l’organisme n’est pas vraiment adapté à la digestion des aliments présentés ainsi et que le risque de trop consommer tel ou tel aliment est important.
N’oublions pas que la première nourriture de l’être humain est proposée sous forme liquide : le lait humain.
D’autres encore expliquent que les boissons industrielles sont souvent consommées de manière excessive particulièrement par les jeunes et que ces derniers n’arrivent pas à trouver de limite à leur consommation.
Le reproche que l’on fait généralement à propos des boissons ou de sodas consommés par les jeunes n’est pas en relation avec la « forme » liquide de l’aliment, mais plutôt avec la qualité et la quantité des ingrédients utilisés pour préparer ces boissons.
Dans le cas présent on observe souvent une dépendance neurochimique au sucre. En effet lorsque ce dernier est trop concentré dans un aliment ou une boisson, il provoque une hypoglycémie réactionnelle qui pousse à en consommer toujours plus. A ce mécanisme s’ajoute la dérégulation de la satiété qui pousse à manger au-delà de ses besoins réels.
Au-delà des longs discours théoriques, l’expérience sur de nombreuses personnes et sur de nombreuses années permet de vérifier la justesse ou pas d’une approche. C’est toujours l’expérience et la réalité des faits qui auront le dernier mot par rapport à de longs discours purement théoriques.
Pour que l’expérience d’un thérapeute ou d’une personne qui bénéficie d’une longue pratique, grâce à ses nombreux contacts avec un grand nombre de personnes puisse être recommandable, il serait souhaitable que la personne qui s’en réfère ou s’en réclame, soit rigoureuse dans son approche.
En effet si une personne a rencontré des milliers de personnes mais que pour « x raisons » elle ignore ou ne fait pas le lien entre certains comportements ou pratiques alimentaires qu’elle conseille et les troubles de santé de ses « patients », ou des personnes qui l’écoutent, alors elle peut continuer encore longtemps à se persuader que ce qu’elle préconise et favorable. Mais ce déni se fera au détriment de la santé des personnes qui la consultent ou qui écoutent ses conseils.
La profession d’hygiéniste et de naturopathe, devrait favoriser l’écoute et la bienveillance, et on ne peut que regretter l’attitude rigide, voire agressive de certains d’entre eux. En effet, la critique facile favorise les petites « guerres de chapelle », les mésententes et les dissensions qui participent aux maux et nombreux troubles que l’on peut constater dans nos sociétés, comme s’il n’y en avait pas suffisamment comme cela.
Très souvent on constate que ces personnes n’ont pas d’expérience directe ou régulière contrairement aux personnes qui exercent quotidiennement et qui sont amenées à conseiller et à suivre différentes personnes.
Car la réalité du « terrain » favorise l’humilité, la souplesse d’esprit et la capacité d’adaptation face aux situations personnelles avec leurs myriades d’éléments spécifiques propres à chaque individu.
Ces derniers doivent, dans bien des cas, vivre des « choses » qui ne dépendent pas toujours de leur volonté en termes de qualité et de rythme de vie et qui certaines fois sont bien éloignées des facteurs de santé idéaux (stress relationnel, stress économique, stress professionnel, stress physique, stress mental, etc.).
Ces propos ne sont pas un encouragement à proposer une approche dévoyée de l’hygiénisme sous prétexte d’adaptation, mais au contraire favorisent l’étude du terrain de chaque personne dans sa définition la plus large. Et en parallèle ils encouragent de toujours vérifier que ce que l’on préconise comme recommandation, soit validé par l’expérience de la personne conseillée sur un laps de temps le plus étendu possible, pour éviter les fausses interprétations des soi-disant « réussites ou guérisons ».
Fin du Nota.