NOTA13 et 14-neuro
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NOTA. 13
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Fin du Nota.
ET
NOTA. 14
Lors d’une étude sur des cerveaux de singes auxquels on avait chroniquement administré de l’aluminium, le Dr Sarin et ses collègues ont démontré que le mental avait inhibé trois enzymes membranaires, à savoir la (Na++K+)-ATPase, l’acetylcholinesterase, et surtout l’enzyme spécifique de la myéline, c’est-à-dire la 2’3’ – phosphohydrolase nucleotidique cyclique.
Cette inhibition provoque un rapide amincissement de la gaine de myéline chez les rats et les souris, et peut altérer sa composition en augmentant les galactolipides et en rendant ainsi la myeline plus encline à l’oxydation.
Le Dr Harold D. Foster affirme :
« L’alimentation occidentale favorise la maladie d’Alzheimer de trois façons bien distinctes. Premièrement, elle a tendance à manquer de calcium et de magnésium, rendant les Occidentaux très vulnérables à la toxicité de l’aluminium.
Deuxièmement, beaucoup d’aliments sont appertisés, enveloppés et ou cuisinés dans de l’aluminium. Plus l’aliment est acide, plus il semble dissoudre facilement ce métal. De nombreuses boissons sodas et colas acides sont conditionnées dans des canettes en aluminium.
Troisièmement, du maltol (E636) est ajoute à bon nombre d’aliments transformés afin d’essayer d’en « rehausser » le goût. Le maltol augmente considérablement la capacité de l’aluminium à franchir la barrière hémato-encéphalique et à interférer avec les enzymes cérébrales.
Lorsque des chercheurs veulent étudier un lapin dont le cerveau a été gravement endommagé par des plaques et des enchevêtrements semblables à ceux de la maladie d’Alzheimer, ils lui administrent du maltol, afin de favoriser ces différents symptômes.
Aucune raison logique ne justifie d’ajouter régulièrement du maltol à du chocolat chaud, à de la bière, à certains produits de boulangerie vendus dans le commerce et à bien d’autres produits encore. »
Après quarante ans de recherches et d’études contradictoires, l’aluminium apparait aujourd’hui être indéniablement impliqué dans le développement de la maladie d’Alzheimer. Il pénètre les tissus en se combinant avec la ferritine du sang, en lieu et place de fer. N’étant pas éliminé par les reins, il se concentre et imprègne progressivement le squelette et le système nerveux.
Il est retrouvé fréquemment des quantités plus importantes d’aluminium dans des cerveaux humains atteints par la maladie d’Alzheimer que dans des cerveaux sains. Certains cerveaux malades présenteraient de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale. Par contre, l’apport d’aluminium d’origine naturelle (présent notamment dans l’argile) en usage vétérinaire et humain ne semble pas affecter le cerveau.
Florence Thiriez affirme n’avoir trouvé qu’une seule étude internationale faisant état d’un passage sanguin possible d’une particule d’argile sur dix mille dans le cas de l’argile bentonite chez le rongeur, mais il faut que l’argile représente 50 % de l’alimentation avant d’occasionner une quelconque toxicité.
Des essais effectués avec une argile illite représentant 30 % de la ration, n’ont abouti chez le rat à aucune lésion tissulaire contrôlée en anatamo- pathologie, et à aucun trouble de comportement décelable sur le plan clinique. Se fiant à leur instinct et à leur flair, de nombreux animaux consomment volontairement et spontanément des argiles brutes : girafes, éléphants, chimpanzés, perroquets aras, etc.
Différents insectes recouvrent d’argile les parties de leur corps ayant subi des lésions ou des altérations. Il semble que la relative innocuité de l’aluminium contenu dans l’argile s’expliquerait par le fait qu’il s’agit le plus souvent d’un silicate d’alumine non soluble dans le sang, alors que l’aluminium contenu dans certains médicaments ou vaccins est compose d’hydroxyde d’aluminium, soluble dans les liquides organiques.
En 1987, la FDA (Food and Drug Administration) publiait dans l’un de ses bulletins :
« L’aluminium est une véritable toxine qui ne devrait jamais être injectée à l’homme sans raison valable. »
Sylvie Simon * a rapporté dans la revue Bio-Energie les informations suivantes :
« Le Dr Russel Blaylock, qui a vingt-six ans d’expérience en neurochirurgie, s’est penché sur les dangers de l’aluminium, particulièrement sur sa neurotoxicité mais aussi sur son potentiel antagoniste lorsqu’il est administré avec le mercure.
« En fait » a-t-il déclaré, « nous savons que l’aluminium est une neurotoxine dangereuse qui partage avec le mercure des mécanismes classiques. Ainsi, tous les deux sont toxiques pour les neurotubules, interfèrent avec les enzymes antioxydantes et la fonction de la membrane neuronale, empoisonnent les enzymes de réparation de l’ADN, interfèrent avec la production de mitochondries. »
Il considère le mercure comme un poison qui neutralise dans les cellules les enzymes destinées à arrêter les radicaux libres. Les recherches menées par le Dr Chris Shaw, neurologue de l’université de Colombie Britannique à Vancouver, et non publiées à ce jour, établissent un lien entre l’hydroxyde d’aluminium utilisé dans les vaccins et la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, et la sclérose latérale amyotrophique ou maladie de Charcot.
Référence : « Autisme et vaccination, Ed. Xxxx ; Responsable, mais non coupable, Ed. Xxx. »
Chris Shaw est très surpris que ce type de recherche n’ait pas été menée auparavant alors que les médecins injectent à leurs patients de l’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant stimulant la réponse immunitaire depuis quatre-vingts ans.
« C’est suspect », déclare-t-il.
« Soit ce lien est connu de l’industrie et n’a jamais été rendu public, soit l’industrie n’a jamais été obligée par le Ministère canadien de la Santé d’effectuer ces recherches. Je ne sais pas quelle hypothèse est la plus effrayante. »
Afin d’éprouver sa théorie, Shaw et son équipe composée de quatre scientifiques des universités de Colombie Britannique et de Louisiane ont injecté à des souris le vaccin de l’anthrax développé pour la première guerre du Golfe. Comme l’a expliqué Shaw, étant donné que le syndrome de la guerre du Golfe ressemble beaucoup à la sclérose amyotrophique, les chercheurs tenaient là une occasion d’isoler une cause possible. Tous les soldats mobilisés ont été vaccinés avec un composé d’hydroxyde d’aluminium.
Selon Shaw, ceux qui n’ont pas été envoyés dans le Golfe, ont développé des symptômes semblables à un taux analogue. Les mêmes adjuvants sont utilisés dans les vaccins contre l’hépatite A et B ainsi que dans le cocktail pentavalent contre la diphtérie, la coqueluche, le tétanos, la polio et une sorte de méningite.
Après vingt semaines d’études sur les souris, l’équipe a mis en évidence des augmentations importantes d’anxiété, d’allergies de la peau, mais surtout des déficits de mémoire (41 fois plus d’erreurs que dans le groupe témoin).
Des prélèvements de tissus effectués sur les souris « sacrifiées » ont montré des cellules nerveuses nécrosées. Dans la zone contrôlant le mouvement, 35 % des cellules étaient détruites.
Suite à cette étude, le Dr Shaw a déclaré :
« Aucun membre de mon équipe ne veut plus se faire vacciner. Ces résultats nous ont donné la chair de poule. »
Une autre piste, on ne peut plus scientifique, nous est ouverte par le prix Nobel de médecine et de physiologie attribue en 2006 à deux chercheurs américains pour leurs travaux sur les interférences des « ARN double brin » chez certains parasites (Caenorhabditis elegans).
Ces doubles ARN bloquent certains gènes sur la chaine d’ADN. Or, parmi les vaccins « antigrippes » utilisés le plus fréquemment, la plupart comportent des doubles ARN, à l’exception des vaccins suivants : Agrippal, Fluvirine, Gripguard, Infl uvac, MHG (liste pouvant évoluer et donc non exhaustive).
Ce qui fait dire au Dr Marie-Helene Groussac, chercheur en biologie moléculaire :
« Le vaccin antigrippe est constitué de fragments d’ARN double brin ; il bloque donc certains gènes. Injecté a des personnes âgées, dont les gènes des cellules se ralentissent ou diminuent leur production, il va donc bloquer les gènes déjà déficients, conformément à ce qui a été découvert par le prix Nobel
Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquelles les neurones !
D’où la multiplication actuelle des cas de maladie d’Alzheimer qui grève le budget et la vie des citoyens, et qu’on tend à nous faire passer pour inéluctable et pourvoyeuse d’emplois ! »
Fin du Nota.