NOTA.   31                                                                                                                                                          

Mise en garde sur la pollution électromagnétique et leurs effets neurologiques.

A propos de la pollution électromagnétique Robert Masson précise que son impact est largement sous-estimé. Cette pollution a été multipliée par 1 milliard en 50 ans. Une observation des plus simple aurait dû attirer notre attention.

Les femmes enceintes ne travaillant pas sur ordinateur, font en moyenne 16 % de fausses couches, tandis que pour les femmes enceintes travaillant sur ordinateur, ce taux passe à 36 %.

Robert Masson précise que les rayonnements artificiels font chuter la production de mélatonine. Or, cette hormone a des propriétés antitumorales essentielles à la régulation du sommeil. La forte baisse de cette hormone est susceptible d’engendrer fatigue, dépression, vieillissement prématuré, crises épileptiques et troubles du sommeil.

En 1997 le Pr Madelein Bastide (faculté de pharmacie de Montpellier) signale une diminution de 80 % de la production de mélatonine due à la pollution électromagnétique du téléphone portable et de l’écran d’ordinateur.

Les tests réalisés sur des souris en phase de croissance montrent que les rayonnements artificiels du téléphone portable feraient baisser de 25 % la création de nouveaux neurones dans l’hippocampe, menant potentiellement à son atrophie. Or comme le précise Robert Masson, le signe clinique de la maladie d’Alzheimer est justement l’atrophie de l’hippocampe.

Ce naturopathe conclue : « la ressemblance des ADN homme/souris, laisse craindre que les enfants d’aujourd’hui développent plus tard une maladie d’Alzheimer précoce ».

En 2003, le Professeur Leif Salford, de l’hôpital universitaire de Lund (Suède), après avoir expérimenté l’action du téléphone mobile sur des cerveau de rats déclare :

« Les adolescents qui aujourd’hui, téléphonent plus de deux minutes par jour sans une protection efficace, s’exposent au risque d’avoir une maladie d’Alzheimer à 30 ans. »

Les rayonnements artificiels du téléphone portable provoquent une prolifération anormale de micro-noyaux (fragments d’ADN). Pour se défendre, le système immunitaire produit des globules blancs (macrophages) chargés de détruire ces cellules anormales.

Lorsque ce système de défense ne peut plus faire face, le développement anarchique de ces cellules malades expose l’organisme à un risque majeur.

Robert Masson précise qu’en 2001, le Professeur Goodman immunologiste de renommée mondiale de l’université de Columbia (New York) démontre que ces mêmes ondes activent trois oncogènes de l’ADN : les gènes c-fos, c-jun, c-myc.

Définition : Un oncogène peut être un gène normal qui a subi une mutation (proto-oncogène), un gène normal dont l'expression génétique est anormale ou un gène qui provient d'un virus pouvant déclencher l'apparition d'un cancer (virus oncogène).

De nombreuses études américaines et européennes ont clairement démontré que l’exposition aux ondes des téléphones portables induisent des cassures dans l’ADN et donc des mutations ou des dégâts cellulaires dans la barrière sanguine cérébrale.

La santé de plus d’un milliard et demi d’utilisateurs est concernée, aucune prudence n’est préconisée !

Et le pire précise Robert Masson, est à venir avec l’incroyable généralisation de nouvelles technologies de communication sans fil : le wifi, internet par exemple utilise des ondes extrêmement courtes, des hyperfréquences de 2,4 gigahertz (2400 mégahertz) soit la même longueur d’onde que celle qu’utilise le magnéton du four à micro-ondes. (Information issue des travaux de recherche du Professeur Montagnier)

Il est souhaitable de supprimer autant que cela est possible, le wifi, le téléphone sans fil par un téléphone filaire, de nous protéger des ondes de l’ordinateur et du téléphone portable.

Fin du Nota.