NOTA 65

Pourquoi la notion "d'aliment vivant", est si importante ?

Lorsqu’on prend le temps d’observer et de conscientiser diverses notions comme :

- l’apport d’énergie solaire dans le règne végétal sous forme de chlorophylle ;

- la très grande sensibilité de nombreuses molécules à l’effet de la cuisson : vitamines, enzymes, oligoéléments, minéraux, acides gras etc.

- les interventions multiples et variées de l’homme par différents procédés : mode de production chimique, mode de conservation, ajout d’additifs de synthèse etc., qui peuvent altérer la concentration en nutriments et en vitalité d’un aliment. On comprend mieux que la notion d’alimentation vivante n’est pas un mythe mais une réalité et en aucun cas un abus de langage.

Le fait de ne pas faire la différence entre un aliment « mort » et un aliment « vivant » explique ensuite pourquoi on arrive à concevoir des conclusions aberrantes.

Par exemple à propos des modes de cuisson, lorsqu’un aliment a été chauffé au micro-ondes, et qu’on l’analyse par les méthodes de la chimie traditionnelle, on constatera la présence de protéines, de graisse, d’hydrates de carbone, de vitamines, etc., comme dans n’importe quel autre aliment.

On pourra donc en conclure que cette méthode de cuisson a respecté l’intégrité des produits alimentaires.

Ce jugement est peut-être exact sur le plan quantitatif, mais il souffre du manque d’observation sur le plan qualitatif. En effet, bien que présents, ces nutriments ont subi des transformations profondes, et ils ne pourront plus prétendre réellement assurer le fonctionnement normal de l’organisme. C’est un peu comme si, voulant apprécier la valeur de votre patrimoine, vous comptiez le nombre de voitures que vous possédez sans faire la différence entre les voitures en bon état, prêtes à rouler, et les épaves bonnes pour la casse.

Par exemple les protéines chauffées aux micro-ondes de forme L. (Lévogyre) se transforment en forme D (Dextrogyre) et donc sont dangereuses pour l’organisme.

Les enzymes de l’organisme ne reconnaissent pas cette nouvelle forme d’acides aminés, et ne peuvent pas les métaboliser, ce qui les rend toxiques. Les effets pervers des micro-ondes sont de contribuer peu à peu à la destruction de la membrane cellulaire, à l’hémolyse (destruction des globules rouges), à la leucémie et au blocage des cycles naturels.

Le fait que les aliments vivants vont ensuite subir des transformations chimiques au sein du tube digestif ne signifie pas pour autant que les molécules qui composent ces aliments vivants vont être détruites comme le fait la cuisson ou certains modes de production ou de conservation.

Les cellules vivantes du corps humain ont besoin d’être nourries par des aliments vivants riches en nutriments vivants ou actifs.

Fin du Nota.